Golfe 7: Le maire Djikounou peaufine les grands chantiers de développement de sa commune

 

La commune Golfe 7, sous la direction dynamique de son maire, Aimé Djikounou, connaît un renouveau dans ses infrastructures avec des chantiers d’aménagement routier et des initiatives innovantes pour lutter contre les inondations.

La route du développement passe par des infrastructures de qualité, et Aimé Djikounou, maire de la Commune Golfe 7, semble en avoir pleinement conscience. Depuis quelques jours, un vaste programme d’aménagement routier est en cours dans plusieurs quartiers de la municipalité, confirmant la volonté des autorités locales de transformer la commune en un espace de vie moderne et sécurisé.

À Adidogomé Lampapa, les routes menant à Yokoe sont désormais bien tracées et dégagées, facilitant la mobilité des habitants et réduisant les embouteillages. Madiba à Sagbado, autrefois critiqué pour son état délabré, se métamorphose sous l’impulsion des travaux d’aménagement entrepris. De même, les axes stratégiques tels qu’Attigangomé Carrefour Obéna, Wognomé-Aménopé, et Wognomé-Yokoe bénéficient d’améliorations significatives.

Ces interventions s’inscrivent dans une vision plus large de développement urbain, où la qualité des infrastructures routières devient un levier pour améliorer la vie quotidienne des populations. 

Mais le maire ne s’arrête pas là. Conscient du fléau des inondations qui menace régulièrement certains quartiers, il a initié un mécanisme innovant pour drainer les eaux stagnantes, notamment dans le bas-fond d’Awatamé. Cette solution, qui se veut efficace et durable, pourrait être étendue à d’autres localités touchées par le même problème, si les premiers résultats s’avèrent concluants.

Cette approche pragmatique et orientée vers les solutions est saluée par les habitants, qui voient en ces actions des signes tangibles de la détermination du maire à transformer la commune. « Nous avons longtemps souffert des inondations ici à Awatamé, mais avec ce nouveau dispositif, nous espérons enfin voir une amélioration durable », confie un résident du quartier.

En parallèle, ces chantiers témoignent d’une gestion municipale proactive, où le développement local n’est pas seulement une promesse électorale, mais une réalité vécue au quotidien par les habitants. 

Le maire Aimé Djikounou continue de prouver, à travers ces projets, que la route du développement passe indéniablement par des actions concrètes sur le terrain.

 

Grands projets d’infrastructures routières dans le Golfe 7 : Les choses se précisent

 

C’est une bonne nouvelle pour les habitants du Golfe 7. Les travaux de bitumage des axes IPG-Carrefour Sagbado-Yokoè Kopégan-Carrefour Avoundé, ainsi que des voies connexes, annoncés par le maire Aimé Djikounou, vont bientôt commencer.

Ce jeudi 2 mai, une délégation des autorités municipales, accompagnée des entreprises soumissionnaires au projet, a visité les sites pour évaluer l’état des lieux.

« Nous sommes résolument engagés dans l’amélioration du cadre de vie de nos concitoyens, et principalement de nos apprenants. Ces travaux de bitumage vont permettre de désenclaver certains quartiers et de faciliter la mobilité de tous », a déclaré le maire.

Il est important de rappeler que ces travaux s’inscrivent dans le cadre du Projet d’Infrastructures et de Développement Urbain (PIDU), financé par la Banque mondiale et le Gouvernement Togolais à hauteur de 30 millions de dollars US.

Le projet est mis en œuvre par le Ministère de la Ville, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Salubrité Publique, à travers le Secrétariat Permanent du PIDU.

Carrefour Attikoumé-rails et ses feux tricolores : Bonjour les dégâts

 

À Lomé, l’installation des feux tricolores au carrefour Attikoumé, un rond-point traversé par les rails et dont l’une des voies mène vers les pavés de Totsi, suscite une vive polémique quant à sa pertinence et à ses conséquences sur la sécurité des usagers.

 

Ce projet réalisé dans le dessein de réguler la circulation dans cette zone particulièrement problématique, pose des préoccupations majeures quant à son efficacité et son impact sur la sécurité routière.

 

L’un des points de discorde réside dans le choix de placer des feux tricolores à un endroit déjà caractérisé par une grande complexité de circulation, notamment en raison du passage des rails.

 

Avant l’installation de ces feux, le carrefour Attikoumé était déjà le théâtre de nombreux accidents, en particulier pour les motocyclistes qui risquaient de glisser sur les rails, entraînant ainsi des accidents graves. L’introduction de ces nouveaux feux tricolores a exacerbé ces risques, créant un environnement encore plus dangereux pour les usagers de la route. Il suffit qu’un train soit de passage et que le feu rouge s’allume pour voir les dégâts… Des bousculades, des collisions, rien qu’un désordre…

Une des principales critiques émanant des spécialistes en prévention routière concerne la pertinence de l’installation de feux tricolores à cet emplacement. Selon eux, plutôt que d’opter pour cette solution, il aurait été plus judicieux de prévoir la création d’un passage à piéton sécurisé ainsi que la construction d’un échangeur pour fluidifier la circulation dans cette zone sensible. En cas de contraintes financières, une alternative aurait été de faire réguler la circulation à ce niveau par les forces de l’ordre et de sécurité, qui sont spécialisées dans ce domaine. Ces zones sont justement celles où leur intervention est primordiale.

 

« L’absence d’une étude approfondie sur l’impact de ces feux tricolores sur la circulation et la sécurité des usagers constitue une lacune majeure dans la planification de ce projet. Cette initiative aurait dû faire l’objet d’une analyse approfondie prenant en compte les spécificités du carrefour Attikoumé et les risques potentiels pour les passagers, avant sa mise en œuvre », nous a confié un expert en la matière.

 

Enfin, cette situation soulève des questions quant à la priorité accordée à la sécurité routière dans les projets d’aménagement urbain.

 

Plutôt que de simplement opter pour des solutions préconçues telles que l’installation de feux tricolores, il est impératif que les autorités prennent en considération les besoins réels des usagers de la route et adoptent des mesures qui garantissent leur sécurité.

 

LeSaint

Golfe 7 : Aimé DJIKOUNOU fait encore parler de lui  

Le nom du maire Aimé Koffi DJIKOUNOU résonne une fois de plus dans tous les coins de la commune du Golfe 7, et ce, pour de bonnes raisons. Son dévouement indéfectible envers sa communauté est loué à juste titre pour les actions bénéfiques qu’il ne cesse de mettre en œuvre.

 

En début de semaine, d’importants travaux de reprofilage et d’ouverture de voies communales ont été lancés dans la municipalité, illustrant l’engagement inébranlable du maire à améliorer la qualité de vie des habitants, notamment en cette période de saison pluvieuse, et à favoriser le développement socio-économique de la commune.

Le maire DJIKOUNOU lui-même s’est rendu sur le terrain ce mardi 26 mars 2024 pour inspecter les chantiers en cours. Il a profité de l’occasion pour prodiguer des instructions précises aux équipes chargées des travaux, veillant à garantir la qualité et la sécurité des routes, notamment en apportant des corrections aux points critiques identifiés.

 

Cette initiative a été chaleureusement saluée par les habitants de la municipalité, qui ont exprimé leur gratitude envers leur élu local. Lors de ses échanges avec les contribuables, il a souligné que ces travaux étaient réalisés grâce aux taxes communales et a encouragé les habitants à s’acquitter de leurs obligations fiscales pour permettre à l’administration communale d’entreprendre d’autres projets, tels que le bitumage et le pavage des routes dans un avenir proche.

 

L’engagement du maire dans l’amélioration des routes revêt une importance capitale pour le développement socio-économique de la commune. Des routes en bon état facilitent la mobilité des habitants et des marchandises, favorisant ainsi le développement des activités commerciales et industrielles. En investissant dans l’infrastructure routière, la municipalité crée un environnement propice à l’investissement et au développement économique local.

De plus, ces travaux contribuent à renforcer la sécurité routière dans la commune. Des routes bien entretenues réduisent les risques d’accidents et garantissent un trajet plus rapide et plus sécurisé pour les habitants.

 

Dans les jours à venir, la municipalité du Golfe 7 prévoit de poursuivre ses efforts en entreprenant des travaux de bitumage et de pavage des routes.

Fuir après un accident : Les autorités sécuritaires haussent le ton

À Lomé, les cas de fuites après des accidents de la route sont malheureusement monnaie courante. Les conducteurs impliqués, au lieu de s’arrêter et de prendre leurs responsabilités, choisissent souvent de fuir la scène de l’accident, laissant les victimes seules et sans assistance. Ce comportement irresponsable ne fait qu’aggraver les conséquences des accidents et entrave la justice.

 

Face à ce constat alarmant, Essolakina Atchole, commissaire principal de la ville de Lomé, a lancé un appel à l’ordre pour mettre fin à cette pratique dangereuse et illégale.

 

Il a rappelé fermement que tout usager de la route impliqué dans un accident, qu’il en soit l’auteur ou simplement impliqué, doit assumer ses responsabilités et coopérer avec les autorités.

 

« Tout usager auteur ou impliqué dans un accident qui ne s’arrête pas ou qui tente de s’échapper à sa responsabilité s’expose à la rigueur de la loi », a souligné le commissaire Atchole.

 

Togo: “Boulevard des armées” ou “boulevard de la mort”?

Pour ceux qui se perdraient dans la localisation géographique, le « boulevard des armées » est le tronçon qui relie le rond-point du collège Protestant de Lomé-Tokoin à l”avenue de la «Libération » (rond-point Ramco). Dans cet article, nous allons juste nous intéresser à partie de cette voie : le carrefour Gbadago. Si vous vous perdez encore, il s’agit de l’intersection juste après les rails en venant du collège Protestant.

A ce niveau, c’est à un véritable jeu de slalom qu’on assiste, avec des automobilistes obligés de passer des heures interminables au volant de leur voiture. Les motocyclistes, eux, s’en sortent moins durement grâce à des gymnastiques des plus dangereuses.  Au mieux des cas, les usagers doivent longer les rails du côté de la société « Mèche Nina » pour se retrouver sur la voie menant à Hanoukopé. Avec des risques là aussi au moment de traverser les rails.

Sur cette voie en chantier depuis deux ans, les accidents se comptent par dizaine chaque semaine. On enregistre « en moyenne  sept cas d’accidents par semaine », selon une source policière. « Pas plus tard que ce mardi matin, une voiture est tombée dans un ravin du tronçon », confie un riverain qui ajoute qu’un camion avait connu le même sort dimanche dernier. A cette situation vient s’ajouter la pollution nauséabonde des caniveaux non couverts.

Démarrés en 2016 par l’entreprise CECO BTP, les travaux de réfection de ce tronçon ont été arrêtés pour des raisons qu’on ignore encore. Malgré l’abandon des travaux, la voie est ouverte à la circulation avec tous les risques que cela comporte. Une situation inadmissible pour un « boulevard » en plein cœur de Lomé, et qui rappelle à la mémoire des Togolais le cas du tronçon Lomé-Vogan-Anfoin confié à la même entreprise pour 26 milliards de F CFA, une somme qui aurait plutôt servi à « équiper CECO BTP » selon le ministre des Travaux publics.