Construction et gestion efficience des fosses septiques : le FNAFPP aide 35 artisans de la préfecture d’Agoè Nyivé à se perfectionner

35 artisans (maçons et plombiers) membres de la Chambre Préfectorale de Métiers Agoè-Nyivé (CPM-AGOE-NYIVE) ont entamé, mardi 11 août 2020 au Centre Culturel de Loyola (Préfecture D’Agoè Nyivé 1) , un atelier de formation, axée sur : la « construction et l’entretien d’une fosse septique écologique d’un puisard non vidangeable ».

Cette formation est organisée grâce à l’appui financier du Fonds National d’Apprentissage de Formation et de Perfectionnement Professionnels (FNAFPP) qui, depuis fort longtemps s’est lancé dans cette “noble” mission.

« De nos jours plusieurs Etats du monde, à l’instar du Togo ont inscrit dans leur politique de développement, le volet: protection et la sauvegarde de l’environnement.
Étant donné que la demande faite par les artisans d’Agoé s’inscrit aussi dans cette logique, le FNFPP a décidé de les accompagner.
La formation va les apporter un grand plus, dans ce sens que les modules sont axées sur une nouvelle technologie. Ils vont se former pour apporter leur nouvelles connaissances au profit de la population», a déclaré, Ambroise AKONDO-ALI, Assistant Service Communication et R/P du FNAFPP.

Ce point de vu, est également partagé par les bénéficiaires qui, de leur côté se réjouissent surtout de l’aspect “technologique”.

«  C’est la nouvelle technologie qui est arrivé et nous voulons profiter de ça pour la protection de notre environnement. Les WC qu’on vidange polluent l’air donc cette nouvelle technologie va nous permettre de protéger l’environnement. Cependant nous disons un grand merci au FNAFPP qui a accepté fiancé cette formation pendant 8 jours », a laissé entendre Nima MAZABALO, Président Préfectoral de la CPM-Agoè Nyvié.

Rappelons que la formation se déroule du 11 au 20 Août 2020.

Romuald A.

Contre la covid-19 : l’OIDESH amplifie son soutien à l’endroit de l’État Togolais

Après l’étape de l’Université de Kara, l’Organisation Internationale pour le Développement Economique Social et Humanitaire (OIDESH-Togo) a procédé ce mardi 04 juillet 2020, à la remise de 4000 masques chirurgicaux et de 1125 écrans de protection faciale à la Coordination national de riposte, pour appuyer les hôpitaux réquisitionnés par l’Etat dans le cadre de la lutte contre le coronavirus au Togo.

« Nous sommes en train d’écrire un roman appelé coronavirus, et chaque acteur dans cet ouvrage doit bien jouer sa partition. Nous au niveau de l’OIDESH, c’est une manière pour nous de soutenir l’Etat en réponse à l’appel de solidarité nationale lancé par le Président de la République. Nous mettons ainsi notre arme dans la lutte contre l’ennemie, coronavirus », a déclaré le Vice-Président de l’OIDESH Togbui Edem Sémékonawo, chef canton d’Aflao Sagbado.

Pour le comité national de gestion du matériel de lutte contre la covid-19, c’est un geste ‘’salvateur’’, dans ce sens que les dons offerts sont destinés à sauver des vies.

Les membres dudit comité ont promis faire bon usage des kits et les envoyés partout où besoin se présentera.

Avec pour président Orphée Adom, l’OIDESH s’est fixée pour mission, d’accompagner les efforts du gouvernement dans la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND).

L’organisation intervient dans divers domaines tels que l’environnement, l’éducation, la santé, l’agriculture, l’emploi des jeunes et les télécommunications pour ne citer que ceux-là. Elle est siégée dans le canton d’Aflao Sagbado (Golfe7).

Un attroupement militaire à Ségbé pour sauver un ‘’voleur-chat’’ suicidé dans un puits: la scène s’est transformée en une autre chose très horrible

Ce lundi 27 juillet 2020, l’ambiance était morose à Ségbé. Le quartier de Togbui Mitan était visité par un grand nombre des corps habillés (police et militaire) bien armés.

Tout est confus. La scène se produisait au bord d’un puits. « Surement qu’un des présumés braqueur s’est suicidé en se jetant dans le puits. Il faut à tout prix le sauver », disaient les autorités locales.

L’armée et la police dépêchées sur le terrain on tenté pendant plusieurs heures de faire sortir le corps du voleur (voleur au départ).

C’était une affaire de gabarie. Toutes techniques possibles ont été mises à l’œuvre pour la réussite de cette mission. Plus de 06 heures de temps passé au bord du puits, la cible est atteinte.

Finalement il a été sorti du puits, mais bizarrement, c’est un gros chat.

«…Oui, c’est un chat (l’animal). Ça fait un peu rire que c’est un chat qui était dans le puits et nous on croyait que c’est un homme. Çà fait rire les autres, mais moi seul, ça me fait réfléchir à plusieurs choses. Premièrement, je salue la bravoure des soldats qui étaient venus et qui ont tout fait pour sauver la situation. Si c’était un homme là dedans, ils vont le sauver forcément. Parce que leur détermination ici était très forte… », a déclaré Togbui Edem Sémékonawo, contacté au téléphone.

Fin.

NB : Ecriture débrayée, c’est explicative