Promouvoir le bien être des enfants en milieu scolaire tout en les sensibilisant sur la protection de l’environnement, quatre clubs Rotary sont encore à l’EPP AGOKPAMÉ dans la préfecture des Lacs, pour la mise en terre des plants, d’une valeur d’environ 400 mille FCFA, le samedi 7 novembre 2020.

Les membres des Rotary Clubs de Lomé Lumière, de Lomé Zénith, de Lomé Horizon et de Lomé Perle ont pour une énième fois mené des actions sociales dans les lacs (EPP Agokpamé) dont l’objectif est de permettre aux élèves d’étudier dans un endroit sécurisé et sain (respirer l’air naturel) et par conséquent d’avoir de meilleurs résultats scolaires.

En outre, cette action permettra aux enseignants d’exercer leur métier en toute quiétude et d’éviter que les riverains traversent à tout moment la cour de l’école.

L’EPP Agokpamé est un boulevard ouvert à tout passant, les conducteurs de taxi moto, et surtout les peuhls qui font passer leurs boeufs (transhumance) aux heures de cours, perturbant ainsi la tranquilité des apprenants.

Avec le suivi des membres de l’ITRA, ces Rotariens ont tout autour de l’école, mis en terre 1200 plants faux campeche. Ces jeunes plants feront plus tard des haies qui empêcheront la traversée de tous à cause de ses épines et au même moment purifieront l’atmosphère et lutteront contre l’érosion du sol du réchauffement climatique.

Cette opération de reboisement, à en croire, Kokou Johnny Locoh, président du Rotary club Lomé Zénith, est une petite action pour pouvoir les aider à mettre des plants qui vont servir de clôture.

Le président a également exhorté les enseignants et les élèves à les entretenir. Un geste salutaire selon le directeur et les parents d’élèves de ladite école qui promettent d’ en prendre soin.

Les Rotariens agissent localement mais aussi à travers le monde, pour améliorer les conditions de vie des populations. Ils donnent leur temps, leur énergie et leur passion pour mener à bien des actions durables à fort impact orientés sur plusieurs axes : la promotion de la paix, la lutte contre les maladies, l’accès à l’eau potable, la santé des mères et des enfants, le développement des économies locales, l’éducation ainsi que l’environnement.

Philippe KPEYAKA