Yark Damehame: « Je pense que nous pouvons dire sans risque de nous tromper que, pendant deux jours, Lomé a été la capitale africaine de la cybersécurité »

Fin ce jeudi du premier sommet de la cybersécurité de Lomé. Les travaux ouverts par le chef de l’État togolais Faure Gnassingbé à la veille, ont été clôturés par le ministre de la la sécurité et de la protection civile, Gal Yark Damehame.

Tenu sur 2 jours, les 23 et 24 Mars 2022 dans la capitale Togolaise, le sommet a réuni plus de 600 participants en présentiel comme en virtuel.

Les différentes activités, structurées autour de panels ministériels et d’experts, ainsi que de sessions de networking, ont été l’occasion d’évaluer pendant deux jours l’état de la cybersécurité en Afrique sur plusieurs aspects, de partager les expériences et bonnes pratiques, et surtout de souligner la nécessité d’une coopération internationale en la matière.

L’un des moments forts du sommet aura été la démonstration, ce même jour, d’une simulation de cyberattaques réalisées le premier jour sur un échantillon de participants.

« Je pense que nous pouvons dire sans risque de nous tromper que, pendant deux jours, Lomé a été la capitale africaine de la cybersécurité »
, a affirmé Yark Damehame dans son discours. À l’en croire, le sommet a été le point de naissance de l’esprit de Lomé, l’esprit d’une Afrique consciente des enjeux auxquels elle fait face à l’heure de la digitalisation du continent et du monde.

Il faut rappeler qu’au terme des travaux, une déclaration a été adoptée par les ministres des différents pays participants.

Romuald A. (92-87-63-38)