1-2-3 Action le bon samaritain des populations du Nord Togo, met Almok à l’honneur

L’association suisse 1-2-3 Action, une ONG humanitaire qui depuis 2 ans identifie dans les coins les plus reculés du Togo des populations qui n’ont pas accès à l’eau potable et leur offre des forages d’eau, vient de sceller un contrat avec une star togolaise. Après Emmanuel Adebayor Shéyi, c’est l’artiste chanteuse Almok.

Ce partenariat entre la Togolaise et l’association humanitaire pour le compte de l’année 2019 a été dévoilé ce vendredi à Lomé au cours d’une conférence de presse. A travers sa voix d’artiste, Almok devra sensibiliser les filles de ces milieux reculés à retrouver le chemin de l’école et à prendre conscience de qui elles sont et des potentiels enfouis en elles.

« Je remercie l’association de m’avoir fait confiance. Ce n’est pas ma première fois de travailler avec une ONG mais celle-ci est particulière en ce qu’elle me rappelle les nombreuses années que j’ai passées au village, années au cours desquelles j’allais chercher de l’eau dans des marigots. J’espère apporter beaucoup de choses, surtout que c’est sur ma terre natale. Je veux bien partager ma musique avec mes compatriotes dans les villages », a-t-elle déclaré.

Ce partenariat s’inscrit dans le cadre d’une mission effectuée par les responsables de cette organisation au Togo. La forte délégation conduite par le président de l’association, Gregory Prenleloup, le responsable financier, Miguel Ibanez, le directeur section Togo de l’association, Loris Hadjian et une ministre de l’Organisation des Nations Unies (ONU), est allée dans le Haho au sud dans les préfectures de la Kéran et de Tamou dans le grand-nord.

A Commandantcopé (Haho), ils ont remis officiellement deux bâtiments scolaires dotés d’une cinquantaine de tables-bancs. Dans le village de Kpotamé (Haho), la délégation a lancé les travaux de construction d’un forage.

Dans la préfecture de la Kéran, plus précisément à Nadoba et Pimini, 3 forages ont été inaugurés. A Tamou dans les savanes, les travaux de construction de forage ont été démarrés à Bligou.

Toutes ces réalisations permettent à l’association 1-2-3 Action de passer désormais le cap de la quarantaine de villages où des forages ont été implantés, permettant aux populations bénéficiaires de s’éloigner définitivement des difficultés liées à la recherche d’eau, les maladies liées à l’eau de mauvaise qualité et les morsures de serpent et autres et d’avoir un accès direct à l’eau potable.

« L’eau jaillit des entrailles de la terre pour donner la vie. Nous avons désormais acquis l’expérience pour ce faire. Nous le ferons encore 10, 20, 100 fois s’il le faut. Le Togo est une terre d’accueil pour nous », a lancé Gregory Prenleloup.

Outre le Togo, l’association 1-2-3 Action travaille aussi en Thaïlande et au Zimbabwe

24heures chrono au CHU Sylvanus Olympio Ce qui est vu et entendu 

Nos tympans ont du mal à se remettre des stridents bruits des sirènes des va et vient incessants des ambulances, des pleurs des parents ayant perdu des proches ou ceux se trouvant dans le désarroi de l’aggravation de l’état de santé d’un parent. Nos yeux ont vu ce que l’on ne souhaiterait même pas à son pire ennemi : la maladie. Nos yeux ont également vu des parents ravagés par la douleur et le stress parce que ne sachant pas ce qu’il en serait de l’issue de la maladie d’un proche qui leur est cher ? Enfin, nous avons vu de nos yeux embués de larmes des visages de parents irradiés par le bonheur qui ont vu les leurs sortir de l’antichambre de la mort pour rejoindre celui des vivants.

Le Centre hospitalier universitaire (CHU) Sylvanus Olympio vit sa vie, un monde dans le monde. On y vit une réelle ferveur humaine, tout se bouscule, tout le monde est pressé. Une grande école de la vie. Certains ont choisi les hôpitaux et les cimetières pour comprendre les grands enjeux de la vie pour finir par se consoler en disant que si rien ne vaut la vie, la vie également ne vaut rien. Que se passe exactement dans les méandres du CHU Sylvanus ?

On assiste à un vrai remue-ménage, qui est pourtant loin d’un désordre  car chaque acteur se trouvant dans cette grande enceinte joue le rôle qui lui est dévolu. Les malades attendent d’être auscultés pour recouvrer la plénitude de leur santé ; les parents implorent Dieu pour le meilleur de leurs parents malades, les médecins et les autres agents de santé s’affairent à jouer à fond leur partition pour que le serment prêté de sauver la vie se concrétise par des actes. Bref, à chacun son rôle.

Le CHU Sylvanus Olympio quoique l’on dise est incontournable dans le dispositif sanitaire de notre pays, c’est le centre de référence par excellence. D’ailleurs, nous avons pu nous apercevoir que les cas critiques que certaines cliniques gèrent finissent par être référés au CHU Sylvanus Olympio. C’est dire que le vocable “mouroir utilisé” est employé exagérément pour inciter nos médecins et autre personnel soignant à aller au-delà de leur limite pour sauver et sauver davantage des vies. Nos médecins et tous les autres agents du personnel soignant ont été formés avec un solide bagage qui leur a été donné pour répondre à toutes les éventualités qui se présenteraient sur le terrain. D’après des agents de tout grade approchés, le réel problème qui se pose avec acuité d’ailleurs et qui n’honore pas l’âge de ce centre se rapporte au matériel. Que peut faire le plus grand génie s’il n’a pas les outils nécessaires pour exercer ? C’est pourquoi des voix s’élèvent de plus en plus pour demander que ces centres de référence soient mieux équipés pour changer le statut de cet hôpital.

L’autre cauchemar qui traumatise les patients et qui indispose le personnel soignant est cette indisponibilité des poches de sang. C’est un parcours de combattant que d’avoir ces poches de sang dans un délai raisonnable pour répondre à un besoin pressant. La décrépitude avancée des installations, les toilettes, les lits sont bon à être installés dans les musées d’horreur et non à continuer par être utilisés dans un centre de ce standing. A ce 21ème siècle, le Togo mérite vraiment mieux pour faire face aux enjeux sanitaires de l’heure.

Le volet lié aux implants périmés évoqués par la presse était au cœur de certains débats surtout après la note du DG du centre interdisant le principal acteur de toute activité au CHU SO. Au-delà de l’émoi que cette situation a créé, certains médecins estiment qu’une prothèse faite souvent de matière inoxydable ne se périme pas comme ça et que les produits utilisés pour la stérilisation peuvent par contre être expirés et qu’il suffit de reprendre le processus de stérilisation pour que la prothèse soit au point en vue de son utilisation. Pour certains, est-ce que cette parenthèse qui est ouverte sonne-t-elle le glas des missions sanitaires qui ont quoiqu’on dise sauver des vies de plusieurs centaines de nos compatriotes ? Des individus traînent des maux pendant plusieurs années et il a fallu ces missions chirurgicales pour les soulager et leur donner une nouvelle chance de croquer la vie.

Par ailleurs, le CHU SO n’est tout de même pas un moulin pour que le premier qui atterrisse commence à exercer. Un quitus aurait été donné pour l’exercice des ses actes chirurgicaux. La précipitation avec laquelle cette décision est tombée ne viserait-elle pas à brouiller les pistes ? Une contre enquête devrait normalement infirmer ou confirmer les allégations pour situer l’opinion qui mérite d’être rassurée et de porter un autre regard plus mélioratif sur le CHU, le personnel soignant et les missions chirurgicales.

Le pavé a été jeté dans la marre, l’onde de choc s’est propagée dans les recoins les plus insoupçonnés. Il y a plus d’une choses qui ont été dénoncées dans ce pays sans qu’une suite heureuse ne soit donnée. Loin de cautionner cette situation mais l’on se pose des questions sur l’empressement de la direction dans la prise de cette décision. Le flou artistique crée renforce les supputations,  pour quelle fin ?

Les implants ou prothèses, la volonté de nuire ou celle de sauver qui était manifeste ? La seconde assertion nous semble plus évidente.

 

Source: Courrier de la République

Du blasphème, imprécation et de l’exécration : un groupe d’individus déclare un « Yohanes » le messie qui remplace Jésus-Christ.

Doit-on parler de blasphème, imprécation ou d’exécration ? En tout cas les mots manquent pour qualifier ou décrire la révélation qu’a faite un groupe d’individus se réclamant du nom de « famille chrétienne » ce  17 septembre 2018 à Lomé face à la presse.
En effet, ce groupe de personnes dit avoir eu la révélation du messie qui devrait remplacer Jésus-Christ sur terre. Ce nouveau messie s’appelle tout simplement « Yohanès » à en croire la famille chrétienne.

Jusqu’ici l’on peut ne pas être ébahi, ahuri de cette révélation, car toute personnes sous le coup de chômage, pauvreté, ennuie… peut se lever et affirmer de telles choses surtout en ces moments où chacun cherche par tous les moyens à joindre les deux bouts y compris les moyens inappropriés et indignes.
Mais ce qui surprend dans les révélations de ce groupe, est que le fameux « Yohanès »est non seulement un être physique et spirituel qui vit parmi les humains mais il est « togolais » et qu’il a déjà commencé ses œuvres au Togo, il suffit de l’invoquer en prière et l’on constatera ses œuvres.

« La jeune femme stérile qu’est le Togo, est tombée enceinte et a mis au monde un enfant. Après ceci, beaucoup de nations vont vouloir siéger au Togo alors que personne ne s’y intéressait avant. Grâce à « Yohanès », nous avons la connaissance de Dieu tout-puissant qui a fait de lui l’échelle par laquelle on doit désormais passer pour atteindre le ciel ». C’est en ces termes que l’orateur principal nommé Emmanuel Israël a annoncé le grand retour et la présence du « messie » sur la terre.
De tels événements restent une surprise sur le sol togolais par contre dans certains pays limitrophes du Togo à l’instar du Bénin, voisin de l’est, ces genres de révélations sont monnaie courante. En effet au Bénin, il y en a même qui se révèlent comme le grand Dieu et qui se font adoré comme tel.

Mais en vérité, si on se réfère à la sainte bible, ces genres de révélations ne devraient pas surprendre car il est écrit qu’aux derniers moments, des événements extraordinaires allaient se produire un peu partout dans le monde.
L’on ne sera donc pas étonné de voir dans les prochains jours des gens célébrer des cultes en l’honneur de « Yohanès » comme celui l’a même qui devrait venir remplacer Jésus-Christ.

En avant donc le pillage des femmes car on sait comment elles se laissent vite emballer quand il s’agit de questions de religion car elles aiment assez le miracle.

De la nécessité pour les autorités de mettre très vite la main sur ce groupe d’individus (famille chrétienne) afin d’éviter tôt non seulement la confusion qu’ils veulent créer dans la tête de la population togolaise mais aussi le pillage de pauvres citoyens qui cherchent nuit et jour de quoi survivre.

 

Stanislas A.

Tous à l’internat de lécole « le RO. MARIO », la garantie d’une réussite.


Issus des 4 coins du monde, plusieurs jeunes partagent un cadre de vie exceptionnel. Favorisant les échanges culturels et linguistiques, la vie dans lécole le R.O MARIO est une occasion privilégiée dévoluer en harmonie et dans la diversité culturelle.

Le centre R.O MARIO, offre pour cette nouvelle rentrée scolaire 2018- 2019, de services beaucoup plus spéciaux. Il ouvre en effet, les portes de son internat à tous les élèves que ce soit de la formation footballistique ou de la formation pédagogique.
Ainsi, à en croire les promoteurs du centre, Cest une aubaine pour toute personnes même ceux qui nont pas évolué dans les études scolaires et qui désirent pratiquer le football de se trouver une autre porte de réussite en faisant tout simplement confiance au centre.

Au milieu dun espace vert, les bâtiments de lécole sont construits aux normes de larchitecture modernes avec accès en eau potable, de l’électricité et du WIFI.
Dans cet environnement international, sain et sûr, les élèves se concentrent sereinement sur leurs études, tandis que les parents apprécient la quiétude qui règne dans l’encadrement de leurs enfants. Le Togo à bien des égards reste un havre de paix hors du commun.

Le personnel de l’école le RO MARIO et les enseignants, en contact régulier, assurent une surveillance permanente et attentive sur les lieux de vie et d’étude. Au-delà de l’aspect sécuritaire, leur rôle est également daccompagner avec bienveillance les élèves en dehors des cours, dans leur suivi scolaire, dans leur bien-être ainsi que dans leur développement personnel.

Durant les temps libres et le week-end, les élèves sont invités à pratiquer des activités sportives, culturelles ou récréatives. Lenvironnement immédiat ainsi que les infrastructures de l’école offrent un très large choix d’activités.
C’est d’ailleurs cette sérénité dans les études qui a permis à la filière du football de réussir brillement partout où les apprenants se présentent. Le gardien SAMBOB ABD AZIZ d’être convoqué par le sélectionneur Claude le Roy en équipe A à cote du gardien titulaire des Eperviers Agassa Kossi lors des Éliminatoires de la CAN 2017 passée et le dorsal 22 OURO-AKONDO Fadel pour les éliminatoires de la CAN des U20 lors de la double confrontation contre le Gabon (Sélectionneur Ayivi) sont des perpétuelles preuves .Pour ne pas citer entre autre les KOUDO Timothée , DEDJEH Donatien les KLOUKPO de As Togo Port et beaucoup d’autre qui se sont engagés avec les équipes de D1 au Togo et d’autre hors du Togo.

A lécole le RO. MARIO, la formation footballistique, pédagogique ; le logement, la restauration, la prise en charge médicale, l’assurance, le transport et le tourisme sont offerts à un frais détudes modeste

 

NB: Lécole de Foot le R.O MARIO informe toute la population en l’occurrence les élèves qui ont des difficultés pour décrocher le BEPC BAC 1 et BAC 2, qu’ils ont la possibilité de se faire enregistré à l’internat de la dite école meme s’ils ne sont pas footballeur. Lécole leur garantie un bon encadrement couronné de succès car ils consacreront tout leurs temps rien quaux études. Et invite donc la population à saisir cette opportunité en faisant vite l’inscription compte tenu du nombre limité des places.

Contacts: +228 99 35 04 35 / 93 54 16 16

Le CILSS braque ses armes contre l’ insécurité alimentaire

Le comité permanent inter-états de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) a ouvert sa 33ème réunion, « la journée du CILSS » dans la capitale togolaise ce 12 septembre et prendra fin le 14 septembre prochain.

Cette rencontre a pour objet la concertation technique régionale à propos des perspectives agricoles et alimentaires au Sahel et en Afrique de louest.

L’ occasion va permettre au CILSS dinvestir dans la recherche de solution pour lutter contre les effets de la sécheresse et de désertification afin davoir un nouvel équilibre écologique.

« Ainsi il sera question au cours de cette journée de valoriser les produits forestiers non ligneux (PFNL) qui normalement dispose de grandes vertus mais malheureusement sont ignorés par la plus part des gens dans nos communautés. », a laissé entendre monsieur Kpatcha EWAROU, sécrétaire permanant du CILSS au Togo.

Le ministre en charge de l’ agriculture, Oura-Koura Agadazi, a retracé les initiatives du gouvernement allant dans le même sens que les actions du CILSS. IL illustre ses propos par des actions inscrites dans la politique nationale de développement (PND) à travers le projet « Appui à la valorisation et à la modernisation de la filière des

Notons que treize Etats africains notamment le Bénin, la Côte divoire, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, la Guinée, le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, le Tchad, le Cap Vert, le Niger et le Togo composent le CILSS.

La redaction

Un footballeur international, un cadre administratif, un entrepreneur, Le R.O MARIO en dit tout

Les stars du football avec un niveau intellectuel assez élevé dans les matières scientifiques et littéraires comme on le constate sur d’autres cieux est aussi possible au Togo avec l’Ecole « Le R.O MARIO. »Ainsi, fort de ses résultats obtenus à la fin de l’année scolaire 2017-2018 : BEPC 50% ; BAC1 86% ; BAC2 71% et le placement de plusieurs jeunes joueurs dans des clubs togolais, africain et européen, l’Ecole de Football le R.O.MARIO a le plaisir d’informer les parents et tuteurs des élèves que de nouvelles dispositions sont prises cette année pour assurer 100% de réussite à vos enfants dans le domaine scolaire et aussi bien sur le plan du football.

L’Ecole de foot le R.O.MARIO dispose des classes de 6eme en Tle toutes séries des dortoirs pour l’internat, des réfectoires, des salles de révision, une salle de cinéma et une cours bien spacieux pour des jeux divers, le tout sous la supervision des enseignants éducateurs Sportifs chevronnés.

Suite à vos nombreuse demande, l’Ecole de Foot Le R.O MARIO ouvre ses porte cette année à tous les élèves footballeur ou non, des internes et les externes de même que les candidats libres à divers examens.

Grâce à no partenaires nationaux et internationaux, l’école Le R.O.MARIO organise chaque année plusieurs sorties dans d’autres villes du Togo ainsi qu’à l’extérieur afin de permettre aux pensionnaires de s’ouvrir à d’autres horizons.

A l’école de Foot Le R.O.MARIO, nous axons nos formations scolaires et sportives sur le strict respect de la réglementation en vigueur au Togo.

Par ailleurs, la Direction Générale vous informe la rentrée académique 2018-2019 est prévue au 24 septembre 2018 et la rentrée footballistique est prévue sur le 1er octobre 2018.

Les inscriptions ont déjà commencé et se poursuivent tous les jours au secrétariat de l’école de foot Le R.O. MARIO sise à Sanguéra-Klémé, Tél : 99-35-04-35 ou 93-54-16-16.

A l’Ecole de Foot Le R.O.MARIO, nous ferons de vous des stars!

Profanations des lieux de prière : après les mosquées, ce sont les églises

Après la série de profanations des mosquées, c’est le tour des églises. En effet, dans la nuit du 06 au 07 septembre, l’Église Baptiste sise à Agoè-Nyiévé a été visitée par ses profanateurs qui ont mis le feu à une partie du temple.

L’information est révélée par un communiqué du gouvernement. Selon ce communiqué diffusé vendredi sur la télévision nationale, des individus non identifiés se sont introduits dans une église Baptiste à Agoè où ils ont dans un premier temps déplacé l’autel sur lequel se trouvait les cantiques avant de mettre le feu à une partie du temple.

Le gouvernement, comme toujours, condamne cet acte qu’il qualifie d’odieux et inacceptable, de nature à remettre en cause la concorde et le respect mutuel entre les communautés dans le pays

« Le gouvernement en appelle une fois encore à la vigilance de toutes les communautés religieuses ainsi que de leurs fidèles de ne pas céder à ces actes ignobles dont l’objectif principal est de les dresser les uns contre les autres », indique le communiqué.

Les auteurs de ses profanations sont toujours recherchés par les forces de sécurité pour répondre de leurs actes.

 

Stanislas AZIATO

Togo: Accès interdit au pic d’Agou

Le pic d’Agou, est le sommet le plus élevé du Togo, culminant à plus de 900m d’altitude. Sous d’autres cieux, on ferait de ce sommet une véritable attraction, un site touristique. Les tatas tamberma auraient la que d’autres sites si à un moment moments donné, les pouvoirs publics avaient œuvré à donner du prix, de la valeur aux rares curiosités dont le pays peut s’enorgueillir d’avoir. Le mont Cameroun a une valeur parce que les filles et fils de ce pays ont su valoriser ce don naturel avec l’ascension du mont doté d’un prix qui attire les sportifs des quatre points du globe. On peut faire pareille avec le pic national.
Ainsi, à défaut de créer l’évènement autour du pic d’Agou, il ne faudrait pas non plus le laisser dans un état comateux qui à longue aura même raison de son existence. En effet, accéder à ce sommet n’est plus une chose aisée. La seule voie serpentée qui dessert ce mont ou mieux qui permet aux vive de s’épanouir risque fort de plus exister à cause des éboulements toujours fréquents qui obstruent la seule voies d’accès du sommet de ce pic. Des gravats sont drainés depuis le haut du pic pour venir choir sur cette exigüe route. Certains foies, ce sont des grosses pierres qui commencent leur lugubre trajet pour finir ensuite sur cette seule route. Il se pose de ce fait une situation de danger permanent. En effet, ces gravats ou grosses pierres qui se détachent porte non seulement entravent la libre circulation des personnes et leurs biens mais aussi et surtout peuvent causer mort d’hommes.
Par ailleurs, quand ont sait que les populations qui vivent dans cette zone sont à majorité agricultrices, l’écoulement de leurs produits vers le marchés par des véhicules devient de par ce phénomène, une équation difficile à résoudre. C’est une question de survie et les populations n’ont eu cesse de porter la voix vers le gouvernement pour sécuriser la route en construisant des remparts contre les éboulements mais voix paraissent inaudibles à partir du moment où aucune approche de solution n’est envisagée. Faut-il des lors craindre le pire ? Absolument, la vie risque de s’arrêter parce qu’aucune activité ne sera plus possible pour ces braves populations qui lèvent leurs mains vers le ciel priant de toutes leurs forces pour qu’une suite heureuse soit trouvée à leurs détresses. Cet axe qui s’en va petit à petit est un autre motif de stress après celui de la course effrénée pour la survie.

Amen ANIKA

Attention! ! ! Portez un pul-over avant de sortir de votre chez demain matin.

Selon les informations du service météorologique du Togo, il est prévisible qu’au cours de cette nuit jusqu’à demain,02 septembre dans la matinée, des manifestations
pluvieuses ou pluvio-orageuses faibles à modérées vont intéresser
toutes les régions du pays.
Dans l’après-midi de demain, ces manifestations vont probablement
se poursuivre dans les Savanes, la Kara, la Centrale et les Plateaux.
Tôt demain matin, le brouillard ou la brume humide réduira la visibilité
dans la Centrale, les Plateaux et la Maritime.
Les températures minimales sur l’ensemble du pays évolueront de
20°C à 24°C dans la matinée.
Il faudra ainsi que l’on prenne des précautions nécessaires pour ne pas être surpris par l’état de la nature demain. Portez un pul-over et surtout beaucoup de prudence pour les usagers routiers afin d’éviter les accidents qui sont souvent causés par le brouillard

Amen ANIKA

Togo, les réformes politiques Un monstre qui fait peur au pouvoir

L’image du Togo importe-il aux premiers décideurs du pays ? Non pas du tout, par rapport à leur comportement de tous les jours. Ils sont obnubilés par des calculs égoïstes, des intérêts partisans à défendre au point où la grandeur, le rayonnement du Togo semblent être la dernière préoccupation de ces gourous du système.

Au Togo, la gestion qui est faite des reformes à opérer pour consacrer l’embonpoint politique, économique et social est une série d’occasions manquées. Laisser l’essentiel utile pour consacrer les énergies au futile, telle est la préoccupation des tenants du système.

Les reformes sont devenues pour le pouvoir, un monstre qui fait peur. Rien que lorsque la question liée aux reformes s’invite dans le débat national, les tenants de l’ordre ancien perdent sommeil et appétit. Depuis les 22 engagements, en passant par l’APG, le CPDC, le CPDC rénové, les conclusions de la CVJR, l’atelier de réflexion organisé par le HCRRUN et la tournée de la même institution, sans oublié le rapprochement RPT-UFC, tout a été fait pour mimer que pour faire sérieux. Qu’est-ce-qui peut justifier cette déconcertante  crise de nerfs dont certains font montre quand on se met sur le terrain des reformes ?

Ne mesure-t-on pas la gravité de la situation au regard des derniers événements survenus dans le pays pour se résoudre à finir une fois pour de bon avec cette lancinante question ? La crise née des événements du 19 août 2017 devrait être l’élément déclencheur d’un nouveau sursaut qui aurait été celui de tous les espoirs. La curiosité vient du fait qu’une nouvelle crise soit en gestation dans une grande qui hante les esprits depuis 2005. Rien ne peut justifier cet injuste chemin de croix imposé à toutes les formes d’actions menées pour arriver à bout de ce que certains considèrent à tort comme un monstre.

violentes crises. D’ailleurs,  c’est cette volonté de tout assujettir qui fait que les  recommandations d’une CENI technique n’ont jamais reçu l’adhésion du pouvoir. Tous les présidents de la CENI, du moins la plupart se considèrent comme des commis au service du pouvoir. Ce qui les a toujours poussés à tout faire même à s’avilir pour ne pas déplaire au système. Une allégeance du premier responsable de la CENI qui fausse le travail empreint de transparence devant avoir lieu à ce haut lieu. Kodjona Kadanga vient de signer sa carte de l’impartialité et continuer le travail avec lui équivaudrait à donner une certaine onction à tout ce qui est en préparation. La lancée du pouvoir inquiète, on ne semble même pas gêné par le concert de condamnations et d’indignations soulevé par le travail qu’a lancé la CENI. On semble avoir une fixation sur la date du 20 décembre. Pour le pouvoir, c’est clair, le 20 décembre relève d’un alibi pour opérer un passage en force et perpétrer le hold-up électoral plutôt que mu par une réelle volonté de tenir dans le temps pour éviter que le vide à l’Assemblée nationale perdure. La conservation du pouvoir, oui. Mais il faut surtout que cela se fasse avec un strict minimum d’étique et que tous les protagonistes partent sur le même pied d’égalité de réussir le challenge. Le cynisme, c’est de tout piper, de tout verrouiller et de dire que c’est l’opposition qui est de mauvaise foi. Le drame qu’aucun esprit ne pourrait admettre, c’est que le pouvoir choisisse à la place de l’opposition les représentants dits de l’opposition extra-parlementaire et de la société civile. Une bêtise grandeur nature qui mérite d’être réparée.

Organiser des élections propres par le système RPT-UNIR s’apparente à un exercice  difficile à faire. D’ici le mercredi prochain, les gros nuages noirs qui s’amoncèlent à nouveau au-dessus de nos têtes pourraient-ils être dégagés avec l’arrivée des émissaires de la facilitation et du comité de suivi? On croise les doigts, arrête la respiration et implore Dieu pour cette fin.