Les stars de Nollywood ont un message pour la population togolaise

 

Lomé accueillera du 25 au 27 mars 2024, une délégation de célébrités des films Nollywoodiens du Nigeria.

 

Selon les informations, la délégation sera conduite par l’actrice Ruth Kadiri, accompagnée de Chidi Dike et Eddie Watson. La présence de ces stars à Lomé a un objectif spécifique : présenter l’avant-première de leur nouveau film en français.

 

De plus, Ruth Kadiri et son équipe profiteront de l’occasion pour rencontrer leurs fans, échanger avec les cinéastes togolais pour partager leurs expériences et tenir des rencontres d’affaires avec les promoteurs culturels du pays.

 

« À l’issue des discussions et des échanges, un acteur ou une actrice togolais(e) sera sélectionné(e) pour rejoindre l’équipe de Ruth Kadiri », ont annoncé les organisateurs.

 

« J’aimerais dire à tous les Togolais que moi et mon équipe serons à Lomé à partir du 25 mars. Nous mènerons des échanges et partagerons des expériences avec nos fans. Nous allons sélectionner un acteur togolais pour intégrer la communauté 247. Enregistrez-vous pour que nous passions un bon moment ensemble. J’ai hâte de vous rencontrer au Togo », a laissé entendre la star dans une vidéo postée sur ses comptes sociaux.

 

« Je suis très enthousiaste de vous annoncer que nous serons à Lomé. Nous allons passer de bons moments avec nos fans », a déclaré pour sa part Eddie Watson.

 

Il faut rappeler que Ruth Kadiri est une actrice de Nollywood (film nigérian) qui a tourné dans plus d’une cinquantaine de films et est plus connue pour son rôle dans Ladies Gangs.

Adidogomé Assiyéyé : Un marché en pleine mutation sous l’égide du maire Djikounou

Le marché d’Adidogomé Assiyéyé, situé dans la Commune du Golfe 7 au Togo, connaît une transformation remarquable ces dernières années.

Sous l’égide du maire Aimé Djikounou, cet espace marchand se métamorphose, offrant des infrastructures modernes pour les commerçants et un environnement propice à l’activité commerciale.

L’une des réalisations phares de cette transformation est la construction de plus de 20 boutiques et une dizaine de magasins marchands, chacun étant construit au rez-de-chaussée. Ces structures modernes, érigées le long de la clôture principale du marché, offrent une architecture attrayante, qui non seulement modernise l’ensemble du site mais favorise également l’activité commerciale.

En outre, le marché est désormais pourvu d’une boucherie moderne, répondant aux besoins des clients à la recherche de viandes de qualité.

La mise en place d’une radio interne à l’intérieur du marché est aussi une initiative innovante qui favorise la communication et la diffusion d’informations importantes pour les commerçants et les clients.

De plus, de nouveaux sanitaires ont été construits pour améliorer les conditions d’hygiène et de confort des usagers du marché. Sans oublier l’infirmerie.

Pourtant, malgré ces réalisations significatives, des défis subsistent. L’un des principaux défis est le terrassement de l’intérieur du marché avec des pavés.

« Le maire est conscient de cette difficulté. Seulement qu’il est nécessaire de prioriser les besoins urgents, en l’occurrence la construction des infrastructures marchandes. En offrant aux revendeuses de l’espace pour exercer librement leurs activités commerciales, le marché contribue au développement de la commune, et les retombées de leurs contributions financières aideront à financer d’autres améliorations, dont le terrassement. Cependant, il est important de noter que les travaux de terrassement nécessitent des ressources financières considérables, et le maire espère que des partenaires de l’État ou du secteur privé pourront les soutenir dans la réalisation de ce projet crucial », nous a confié un proche de M. Djikounou.

Par ailleurs, le marché d’Adidogomé Assiyéyé est en pleine évolution, avec des projets futurs prometteurs.

Selon nos informations, le marché sera bientôt doté d’une crèche pour accueillir les bébés des revendeuses, un exemple supplémentaire de l’engagement du maire à améliorer les conditions de vie des citoyens et à faire du marché d’Adidogomé Assiyéyé un lieu d’échange dynamique et en constante amélioration.

Il faut préciser que la réalisation de ces importants travaux a été possible grâce à un partenariat privé-public établi entre la mairie du Golfe-7 et des sociétés privées de la place. Et tout ce fait en concertation avec les bénéficiaires.

 

La Rédaction

Togo : Comment le gouvernement lutte contre le risque d’exclusion sociale de jeunes déscolarisés ?

Ce n’est un secret pour personne que l’éducation scolaire des jeunes reste un défi constant pour les enfants, les parents, mais aussi pour les pouvoir publics à travers le monde. Ainsi, au Togo, le gouvernement s’est lancé depuis près de huit ans dans plusieurs initiatives et programmes pour lutter contre le risque d’exclusion sociale des jeunes déscolarisés, mettant à profit chaque couche sociale impliquée dans le développement et l’épanouissement de la jeunesse.

À Lomé, dans la capitale comme dans les coins reculés du pays, la gratuité de l’éducation scolaire à la base a permis aux parents d’encourager davantage l’éducation scolaire de leurs enfants et des jeunes. Cela a eu un impact sans précédent sur les chiffres de scolarisation du Togo et a fait chuter considérablement le nombre de jeunes déscolarisés ou sous-scolarisés.

Toutefois, le nombre de jeunes en difficultés pour profiter du système scolaire reste important, en partie à cause de plusieurs facteurs sociaux dont le mariage précoce ou encore la vie rurale où l’activité agricole est plus privilégiée par les parents. Cependant, négliger cela pourrait engendrer d’autres complications et constituer par ricochet un handicap pour le développement de la société togolaise.

Cette situation, le gouvernement togolais en a conscience et ne ménage aucun effort pour trouver de façon constante, mais surtout adaptée, des solutions pour insérer les jeunes déscolarisés dans la société via différents programmes et projets. En 2016 par exemple, les autorités togolaises ont initié un programme de volontariat en faveur des jeunes déscolarisés ou semi-scolarisés.

Dénommé “Jeune volontaire déscolarisé” (JDS), ce programme a permis, en premier lieu, à plus de 500 volontaires, en majorité des femmes, de travailler au sein de structures d’assainissement de la ville de Lomé. Depuis, le JDS a touché d’autres milliers de jeunes dans d’autres villes du Togo, car en janvier 2019, la suite a été lancée au travers du programme de volontariat d’engagement citoyen (VEC).

Destiné aux Togolais de 18 à 35 ans, l’initiative louable du gouvernement togolais, vise notamment à promouvoir les valeurs citoyennes et l’amélioration du cadre de vie. À ce jour, le VEC a touché des villes de l’intérieur du pays comme Aného, Badou, Bafilo, Blitta, Cinkassé, Guérin-Kouka et Tabligbo. La durée de mission est aussi passée de 4 à 6 mois.

Au cours des sept dernières années, ces actions du gouvernement ont eu un impact significatif sur la jeunesse déscolarisée. Insérés dans plusieurs structures au profit du développement, des milliers de jeunes se sont non seulement occupés, mais ils se sont redécouverts. Appartenir à un groupement et participer au développement du pays leur a fait comprendre leur importance et leurs responsabilités dans la société.

Initiés à l’entrepreneuriat, plusieurs de ces jeunes se sont investis davantage dans le développement de l’économie du Togo au travers de leurs propres projets. Plusieurs ont d’ailleurs bénéficié des programmes d’accompagnements des couches vulnérables au sein des institutions financières du pays.

Formation : Les choses se précisent pour l’ouverture de l’IFAD énergies renouvelables

 

C’est une bonne nouvelle pour les jeunes désireux de travailler dans le secteur des énergies renouvelables.

L’Institut de formation pour le développement en alternance (IFAD) va ouvrir bientôt une filière dans ce domaine.

L’Agence Éducation Développement (AED) a, à cet effet, reçu mercredi 16 août 2023 à Lomé le document des référentiels de métiers et de formation devant servir à la mise en œuvre de ce projet.

Sous l’égide de la Synergie des Acteurs des Énergies Renouvelables (SAER), une coalition solide regroupant une trentaine d’organisations, ces référentiels ont pris forme, non seulement dans l’esprit de la coopération entre les IFAD et le secteur privé par le biais du Conseil National du Patronat (CNP), mais aussi et surtout grâce à une réflexion conjointe avec les professionnels de divers horizons au sein du pays.

Ces documents revêtent une signification profonde et tangible. Ils représentent le socle sur lequel les futures générations d’experts énergétiques se bâtiront. Chaque ligne des référentiels résonne comme un engagement envers l’excellence et la durabilité dans le domaine de l’énergie renouvelable.

Dans un avenir où l’énergie propre est une priorité, ces référentiels sont des outils puissants qui façonneront des individus compétents, passionnés et prêts à relever les défis énergétiques de demain.

Ce partenariat novateur ne se limite pas à une simple signature sur le papier. Il va bien au-delà, façonnant le paysage de l’apprentissage en énergie renouvelable. Ces référentiels deviendront la pierre angulaire de la formation dispensée au sein de l’IFAD, lequel est en passe de devenir une réalité concrète.

Le président du CNP, Laurent Tamégnon, affiche une confiance absolue dans cette initiative, affirmant que « la formation qui y sera dispensée sera en adéquation avec les besoins du monde du travail ». Un vœu partagé par tous ceux qui croient en la puissance de l’éducation pour catalyser des changements positifs.

Pour Noupokou Dammipi, le Directeur Général de l’AED, cette étape représente bien plus qu’une simple formalité. Elle témoigne d’un processus en cours, un processus qui met les professionnels du métier au cœur de la formation. Il résonne avec la conviction que l’IFAD Energies renouvelables sera un tremplin pour l’élaboration d’une expertise authentique et pertinente.

Il faut préciser que la nouvelle filière sera ouverte très prochainement dans les locaux de l’IFAD bâtiment, sis à Lomé juste à côté du Lycée technique d’Adidogomé.

 

A. Espoir

Education et bien être des enfants : L’orphelinat la solution dans les bonnes grâces de ‘’Child to child’’

 

La fondation Child to Child, basée au Nigéria, continue de se faire remarquer par ses actions sur le terrain.

En visite à Lomé depuis quelques jours, une délégation de cette association, conduite par Mme Nana Appiah-Korang a rendu visite, le samedi 17 juin 2023, à l’orphelinat ‘’La Solution’’ situé à Adetikopé, avec une importante quantité de manuels.

Ce lot est composé de livres pour enfants, tels que des bandes dessinées, des manuels scolaires, ainsi que des ouvrages de culture générale et de science.

Au total, 135 cartons de livres (en français et en anglais) sont destinés à l’orphelinat pour enrichir sa bibliothèque, qui comprend également une école.

« Les mots me manquent pour exprimer ma gratitude envers la fondation Child to Child. Lorsqu’on m’a parlé de dons de livres, je n’imaginais pas une quantité aussi importante. J’ai enfin compris que la fondation Child to Child est la solution à nos problèmes », a déclaré le pasteur Mawussi Célestin, l’un des bénéficiaires.

L’orphelinat La Solution n’est pas le seul à bénéficier des dons de cette fondation. D’autres pays et d’autres villages du Nigéria en ont également bénéficié, en fonction des besoins et de la langue officielle de chaque pays.

Child to Child est une organisation à but non lucratif qui a pour mission de donner les mêmes opportunités aux enfants africains de bénéficier d’une éducation étrangère sans avoir à se déplacer.

Créée en 2019, elle parcourt les pays pour partager avec les élèves africains l’éducation étrangère à travers les livres.

 

Le dévouement de Child to Child en faveur de l’éducation des enfants africains mérite d’être salué. Leur engagement continue de changer des vies et d’ouvrir des portes pour un avenir prometteur.

Kligue Koffi

Reconnectons la région centrale au Saint-Esprit

Le vent du Saint-Esprit est actuellement en train de souffler sur notre mère patrie le Togo et, visiblement, il n’a pas du tout oublié la région centrale.
Cette région a toujours été consacrée à la troisième personne de la Trinité (Saint-Esprit) ; mais une mise à jour de cette consécration est nécessaire pour un développement durable de cette localité. Ensemble, reconnectons la région centrale au Saint-Esprit !!
Tel un nouveau-né qu’on dédicace à Dieu, nous dédicaçons la région centrale du Togo au Saint-Esprit.
Dans Luc 1:35, il est écrit :” L’ange lui répondit: Le Saint Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu”. Nous invoquons ce même Esprit sur la région centrale. Protégée par le Tout Puissant, nous la renommons “territoire de Dieu”.
Grâce à l’influence du Saint-Esprit, toutes les filles et fils de la région centrale sont intouchables. Le feu dévorant de l’esprit de Dieu forme un cercle de protection autour d’eux et consume tout esprit démoniaque qui ose s’en approcher.
Père céleste, Luc chapitre 4 nous enseigne que le Saint-Esprit a guidé Jésus dans le désert et l’a aidé à vaincre Satan et ses ruses. Nous prions pour que les habitants de la région centrale soient guidés par ce même esprit afin qu’ils puissent opérer des choix qui honorent Dieu et sa volonté au nom de Jésus.
La puissance du Saint-Esprit brise les chaînes et les liens des esprits malveillants dans la région centrale et plonge ses habitants dans une nouvelle dimension. Une dimension spirituelle favorable à leur épanouissement et à leur bien-être sous toutes ses formes.
La domination du Saint-Esprit sur cette localité au centre du Togo fait des merveilles et y fait prospérer la vie économique.
De soutouboua à Sokodé en passant par Bafilo, les enfants de la région centrale ne sont pas paresseux. Nous invoquons alors l’assistance du Saint-Esprit sur eux afin qu’ils puissent évoluer dans leurs différents secteurs d’activité.
Parmi ces secteurs d’activité, nous avons les transports et la conduite routière. Nous consacrons donc ces conducteurs routiers à l’Esprit vivant de Dieu. Jésus Christ a déjà versé son sang pour eux, il n’y a plus aucune raison pour qu’ils versent leur sang dans des accidents de route orchestrés par les forces du mal.
Nous réduisons à néant les alliances faites par les ancêtres avec le sang des filles vierges et des innocents dans le seul but d’assujettir les enfants de cette localité. Ces pactes sont à l’origine de beaucoup de malheurs, en l’occurrence les accidents de route.
Au nom de Jésus, tous les chauffeurs sont entièrement protégés ainsi que leurs véhicules et leurs passagers grâce à la domination du Saint-Esprit sur les forteresses de cette région.
Comme évoqué un peu plus haut, la région centrale a toujours été sous l’influence du Saint-Esprit. Ce qui justifie la conversion d’un nombre non négligeable de ses habitants au Christianisme. Toutefois, nous remarquons une instabilité dans l’exercice de cette foi chrétienne et un rétropédalage de certains de ces convertis.
L’autorité que nous donne le Saint-Esprit nous permet de briser les esprits et les alliances qui sont à l’origine du vacillement de la foi des enfants du Christ. Aussi, nous anéantissons toutes les forces qui sont contre l’œuvre de l’Evangile.
Le Saint-Esprit régnant en maître dans cette région, sa vérité sera révélée aux cœurs des habitants. Les yeux de ces-derniers seront ouverts et ils verront la beauté de la grâce divine en Jésus Christ.
Leur compréhension sera ainsi éclairée et leur foi, fortifiée. Ce qui leur permettra de résister aux tentations et aux influences négatives qui cherchent à les éloigner de Jésus.
La mise à jour est ainsi effectuée, nos prières sont déjà exaucées par le ciel. La région centrale est donc consacrée à nouveau à Jésus Christ et reconnectée au Saint-Esprit par l’amour et le regard bienveillant du Dieu le père Tout Puissant.
Au nom de Jésus-Christ nous avons ainsi prié.
Amen !!!
#Emparole
#MaisonDelEvangile

Golfe 7/Fête de l’indépendance 2023 : Ambiance conviviale entre le maire Aimé Djikounou et ses administrés

 

Dans la commune du Golfe-7, l’ambiance a été particulière, au soir du jeudi 27 avril 2023, à l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance du Togo, a-t-on constaté.

À sa tête, le maire Aimé Koffi Djikounou, les populations d’Aflao Sagbado en partenariat avec l’association ‘’Terre de la Bonne Semence’’ ont solennellement célébré cette fête de l’indépendance, ceci grâce à l’appui du groupe Togocom et du groupe Zénith.

Les activités de cette journée ont démarré par une caravane qui a commencé au carrefour Sagbado pour chuter sur le terrain du lycée moderne Adidogomé II, où les populations ont eu à vibrer au rythme des sonorités traditionnelles et modernes. C’était en présence des autorités locales, administratives, sécuritaires traditionnelles et religieuses.

Au menu, la remise d’attestation aux établissements qui ont participé au « QUIZ DE L’INDEPENDANCE » aux membres de Jury et aux partenaires financiers, prestations de groupes de danses traditionnelles et de groupes musicaux

« Cette initiative est d’affirmer la joie profonde, si immense des citoyens d’appartenir à ce beau pays le Togo, l’Or de l’humanité », a expliqué M. Djikounou qui a félicité l’assistance pour la grande mobilisation.

Il a également profité de l’occasion pour exhorter les uns et les autres à davantage cultiver « l’esprit de paix et de cohésion sociale, valeurs très chères au Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Faure Gnassingbé ».

Pour finir, le maire a lancé un appel solennel à sa population, l’invitant, donc, à se mobiliser pour le prochain recensement dans le cadre des prochaines élections que le pays abritera en cette année 2023.

Anika A.

 

 

Johaness MAKOUVIA sacré Prix « Meilleur Promoteur Africain de la Paix et de la Cohésion sociale »

 

Le Togo encore à l’honneur sur la scène internationale, par le jeune à grande vision , engagé, déterminé, et très ambitieux , L’objectif de Johaness M. MAKOUVIA est de développer des stratégies qui empêchent l’installation de climats délétères susceptibles de porter atteinte à la cohésion sociale, et de promouvoir la Paix, la Non-Violence pour un développement durable en Afrique.

Johaness MAKOUVIA Occupe Actuellement les postes
– PRÉSIDENT INTERNATIONAL, PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES DES JEUNES PROMOTEURS DE LA PAIX (ONG MJPP, OIJPP, RIJEFPP)
– PRÉSIDENT DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA SOCIÉTÉ TOGOLAISE D’ARMEMENT MARITIME ET MULTISERVICE (STAMM SARL)
– REPRÉSENTANT DE LA JEUNESSE CEDEAO AUPRÈS DES NATIONS UNIES DE IAWPA (ECOSOC UNGC 30511)
– DIRECTEUR DE CABINET DU GÉNÉRAL CHEF D’ÉTAT MAJOR D’AFRIQUE D’INTERNATIONAL POLICE et de WCHAR-UN
– DIRECTEUR DE LA PLANIFICATION, DES PROGRAMMES ET DES OPÉRATIONS DE L’INSTITUT PANAFRICAIN DE MAINTIEN DE LA PAIX
– COMMANDANT DE GRADE, OFFICIERS SUPÉRIEURS DES AUMÔNIERS INTERNATIONAUX

LES DIFFÉRENTS PRIX INTERNATIONAUX
➢ ÉMINENT AMBASSADEUR DE LA PAIX 2022
➢ JUGES INTERNATIONAUX DE LA PAIX 2022
➢ PRIX DES JEUNES HÉROS AFRICAINS 2021
➢ JEUNE AMBASSADEUR INTERNATIONAL DE LA PAIX 2019

Coordinateur des Projets et des Programmes de Développement, possédant 08 ans d’expériences. Expertise en matière de projet et d’initiative de grande ampleur.
Motivé, doté d’une solide expérience en gestion avec des projets, tous niveaux confondus, méticuleux, dotés d’excellence, capacité à mener plusieurs tâches de front et faisant preuve d’une grande résistance au stress.
Engagé dans la promotion de la paix, de la non-violence et du vivre ensemble, doté d’une technicité compétente pour les opérations de nationalisation de la gestion de la planification afin d’optimiser la satisfaction de la jeunesse.
Expert dans la coordination de diverses équipes et ressources pour atteindre des objectifs assignés, méticuleusement organisés, Johaness M. MAKOUVIA est un porte-flambeau de l’évangile de la paix et du développement en Afrique sous le manteau de président international, président du conseil d’administration et fondateur de l’Organisation internationale de Jeunes Promoteurs de la Paix / Organisation non gouvernementale Mouvement des Jeunes Promoteurs de la Paix ONG MJPP / OIJPP , et le RIJEFPP (Réseau International des Jeunes Filles Promoteurs de la Paix) qui a sa représentation dans tous les pays membres et le RIFEPP (Réseau International des Femmes promotrices de la paix).
Une organisation dont le but est de promouvoir la Culture de la Paix, la non-violence et la notion de vivre ensemble pour un développement durable. Implanté dans plus de 28 pays et dans toutes les 39 préfectures de son pays d’origine, le Togo.
Visionnaire de haut niveau, le technicien des idées Johaness M. MAKOUVIA, par son outil de qualité, le sens supérieur de la créativité, Auditeur des processus Force de proposition et de persuasion est Porteur et initiateur de plusieurs Projets à savoir :
-FORUM DES JEUNES POUR LA PAIX
– AMBASSADEUR INTERNATIONAL DE LA PAIX
– ÉCOLE DE LA PAIX
– SOMMET INTERNATIONAL DES AUTOCHTONES POUR LA PAIX (SIAP)
– SOMMET MONDIAL DES JEUNES PROMOTEURS DE LA PAIX
-RENCONTRE DES LEADEURS PROMOTEURS DE LA PAIX
– CONFÉRENCE PANAFRICAINE POUR LA PAIX ET LA SÉCURITÉ (COPPS) -MIDOUNOU (allons manger)
-FOZAFRICA (La Faim Option Zéro en Afrique)
-RENCONTRE CONTINENTALE AFRICAINE POUR LA PAIX ET LA SÉCURITÉ (RECAPS) etc.

Pour pérenniser ses initiatives, Johaness M. MAKOUVIA recherche les causes profondes, sensibilise et forme les jeunes aux outils de résolution de problèmes
Johaness M. MAKOUVIA s’implique également dans l’humanitaire à travers son initiative MIDOUNOU. Durant la période covid19, il a fait don de denrées alimentaires et non alimentaires aux populations les plus démunies.
Président et Directeur général
Avec 08 ans d’expérience, Johaness M. MAKOUVIA a de bonnes capacités de communication et est parfaitement capable de travailler sous pression. Bien organisé et capable d’analyser les chiffres et les données pour améliorer les performances.
Le Jeune Entrepreneur Johaness M. MAKOUVIA est, PDG de STAMM entreprises qui compte à son actif 3 sociétés dont STAMM BTP- INGÉNIERIE CIVILE pour les activités de BTP, STAMM SÉCURITÉ spécialisé dans la vidéosurveillance, le gardiennage, la protection des biens et personnes, et STAMM qui est dans le domaine maritime, assurant la sécurité et l’approvisionnement des navires.

Togo/rentrée scolaire: La reprise des cours fixée au 26 septembre prochain

Et c’est officiel : la reprise effective des cours pour le compte de l’année scolaire 2022-2023 est fixée au 26 septembre prochain.

L’information est rendue publique par une note du ministre des Enseignements primaire, secondaire et de l’artisanat, Prof Dodzi Kokoroko.

« Tel qu’institué depuis deux ans, le démarrage de l’année scolaire est marqué par une rentrée administrative et pédagogique. En rappel, la rentrée pédagogique a pour objectif le renforcement des capacités du personnel d’encadrement, des chefs d’établissements/directeurs d’écoles et enseignants, en prélude à la reprise effective des cours. Pour le compte de l’année scolaire 2022-2023, la rentrée administrative et pédagogique est prévue le 19 septembre 2022 et la reprise effective des cours, le 26 septembre 2022 », écrit-il.

 

Foire Kermesse de la Capitale : Les organisateurs face à l’oppression

 

Au Togo, il semble que toute entreprise florissante doive ployer sous le poids des obstacles, érodée par des forces obscures qui frappent ceux qui osent briller dans les domaines les plus divers. L’exemple poignant des acteurs politiques contraints à l’exil par un régime oppressant est malheureusement loin d’être unique. Les jeunes ambitieux et influents, porteurs d’initiatives dynamiques, ne sont pas épargnés par cette réalité sombre qui assombrit l’horizon de l’essor.

 

Un exemple frappant de cette lutte pour la survie de l’initiative et de l’ambition se trouve dans le destin tragique des organisateurs de la Foire Kermesse de la Capitale. Jadis, cette foire, créée par des jeunes togolais, animait avec ferveur la capitale, Lomé. Pourtant, aujourd’hui, elle est reléguée au silence, engloutie par les méandres d’une adversité insidieuse.

 

Depuis la dernière édition en 2019, un silence lourd de sens s’est abattu sur cet événement autrefois vibrant. L’organisation, représentée par AS COMMUNICATION & EVENEMENTIEL, s’est murée dans un mutisme inquiétant, laissant les aspirations et les attentes des participants dans l’oubli.

 

Le succès fulgurant des premières éditions n’a pas manqué d’attirer les regards, et visiblement, il y a ceux pour qui ce succès dérangeait. Des investigations révèlent que derrière cette réussite se cachait bien plus qu’une simple entreprise festive : Les jeunes organisateurs se retrouvaient malgré eux liés à des intérêts obscurs, devenant les pions d’un jeu politique malsain.

 

Selon nos informations, face à la résistance de ces jeunes à devenir de simples marionnettes, des menaces ont été proférées, plongeant les initiateurs de la foire dans une situation de danger imminent. Certains ont été contraints de fuir, d’autres ont été forcés de payer le prix ultime, comme le tragique destin d’Awoudor Koami Leopold.

 

Leur tort ? Avoir osé rêver et concrétiser un événement majeur pour la capitale. Dans un pays où les voix discordantes sont étouffées, où l’initiative est bridée, où le talent est réprimé, que reste-t-il de la promesse d’un développement participatif et inclusif ?