La performance des réformes à fin juin 2017 passée en revue dans les différents ministères au cours d’un atelier à Lomé

Pour évaluer les  réformes réalisées à fin 2017, le ministère de l’économie  et des finances a initié un atelier sur la revue nationale de la performance des réformes dans les différents ministères et les institutions d’Etats le 24 août dernier à Lomé.

«  Le Togo vient d’émettre avec succès 182 milliards de francs CFA  d’obligation assimilée du trésor dont une partie servira à régler définitivement la question des préfinancements  et soulager la trésorerie de l’Etat. » a annoncé le directeur de cabinet de l’économie au cours de la cérémonie d’ouverture de la revue.

Cette revue a pour objectif non seulement de permettre la performance de l’évaluation à mi-parcours de l’année 2017 mais d’identifier les forces et faiblesses,  de prendre les dispositions idoines pour améliorer la mise en œuvre de ces réformes d’ici fin 2017. C’est le  directeur de cabinet du ministère de l’économie et des finances qui a ouvert  les travaux de cette 15ème revue sur la performance. Pour lui, cette initiative  du gouvernement est à saluer à plus d’un titre car, outre l’occasion qu’elle offre aux acteurs de développement du Togo de se retrouver entre eux pour échanger et  tirer des enseignements par rapport aux résultats des réformes passées, ou en cours, elle permet également de s’assurer que les actions entreprises. Ce qui d’ailleurs selon lui  cadrent avec la vision du Chef de l’Etat qui veut la transmission de la gouvernance et l’administration publique d’ici  l’agenda 2030.

Il s’agit pour ces réformes que le Togo opère depuis 2010 et qui prévoient chaque année 2 revues ;  de parvenir à une croissance économique forte, soutenue inclusive pour l’ensemble des togolais. Il faut rappeler que pour améliorer la performance des réformes, l’évaluation par la valeur acquise est mise en œuvre et cette nouvelle méthodologie  d’évaluation à en croire le directeur de cabinet  permet de mesurer la valeur des résultats produits pour l’usager des citoyen.