Johaness MAKOUVIA sacré Prix « Meilleur Promoteur Africain de la Paix et de la Cohésion sociale »

 

Le Togo encore à l’honneur sur la scène internationale, par le jeune à grande vision , engagé, déterminé, et très ambitieux , L’objectif de Johaness M. MAKOUVIA est de développer des stratégies qui empêchent l’installation de climats délétères susceptibles de porter atteinte à la cohésion sociale, et de promouvoir la Paix, la Non-Violence pour un développement durable en Afrique.

Johaness MAKOUVIA Occupe Actuellement les postes
– PRÉSIDENT INTERNATIONAL, PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES DES JEUNES PROMOTEURS DE LA PAIX (ONG MJPP, OIJPP, RIJEFPP)
– PRÉSIDENT DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA SOCIÉTÉ TOGOLAISE D’ARMEMENT MARITIME ET MULTISERVICE (STAMM SARL)
– REPRÉSENTANT DE LA JEUNESSE CEDEAO AUPRÈS DES NATIONS UNIES DE IAWPA (ECOSOC UNGC 30511)
– DIRECTEUR DE CABINET DU GÉNÉRAL CHEF D’ÉTAT MAJOR D’AFRIQUE D’INTERNATIONAL POLICE et de WCHAR-UN
– DIRECTEUR DE LA PLANIFICATION, DES PROGRAMMES ET DES OPÉRATIONS DE L’INSTITUT PANAFRICAIN DE MAINTIEN DE LA PAIX
– COMMANDANT DE GRADE, OFFICIERS SUPÉRIEURS DES AUMÔNIERS INTERNATIONAUX

LES DIFFÉRENTS PRIX INTERNATIONAUX
➢ ÉMINENT AMBASSADEUR DE LA PAIX 2022
➢ JUGES INTERNATIONAUX DE LA PAIX 2022
➢ PRIX DES JEUNES HÉROS AFRICAINS 2021
➢ JEUNE AMBASSADEUR INTERNATIONAL DE LA PAIX 2019

Coordinateur des Projets et des Programmes de Développement, possédant 08 ans d’expériences. Expertise en matière de projet et d’initiative de grande ampleur.
Motivé, doté d’une solide expérience en gestion avec des projets, tous niveaux confondus, méticuleux, dotés d’excellence, capacité à mener plusieurs tâches de front et faisant preuve d’une grande résistance au stress.
Engagé dans la promotion de la paix, de la non-violence et du vivre ensemble, doté d’une technicité compétente pour les opérations de nationalisation de la gestion de la planification afin d’optimiser la satisfaction de la jeunesse.
Expert dans la coordination de diverses équipes et ressources pour atteindre des objectifs assignés, méticuleusement organisés, Johaness M. MAKOUVIA est un porte-flambeau de l’évangile de la paix et du développement en Afrique sous le manteau de président international, président du conseil d’administration et fondateur de l’Organisation internationale de Jeunes Promoteurs de la Paix / Organisation non gouvernementale Mouvement des Jeunes Promoteurs de la Paix ONG MJPP / OIJPP , et le RIJEFPP (Réseau International des Jeunes Filles Promoteurs de la Paix) qui a sa représentation dans tous les pays membres et le RIFEPP (Réseau International des Femmes promotrices de la paix).
Une organisation dont le but est de promouvoir la Culture de la Paix, la non-violence et la notion de vivre ensemble pour un développement durable. Implanté dans plus de 28 pays et dans toutes les 39 préfectures de son pays d’origine, le Togo.
Visionnaire de haut niveau, le technicien des idées Johaness M. MAKOUVIA, par son outil de qualité, le sens supérieur de la créativité, Auditeur des processus Force de proposition et de persuasion est Porteur et initiateur de plusieurs Projets à savoir :
-FORUM DES JEUNES POUR LA PAIX
– AMBASSADEUR INTERNATIONAL DE LA PAIX
– ÉCOLE DE LA PAIX
– SOMMET INTERNATIONAL DES AUTOCHTONES POUR LA PAIX (SIAP)
– SOMMET MONDIAL DES JEUNES PROMOTEURS DE LA PAIX
-RENCONTRE DES LEADEURS PROMOTEURS DE LA PAIX
– CONFÉRENCE PANAFRICAINE POUR LA PAIX ET LA SÉCURITÉ (COPPS) -MIDOUNOU (allons manger)
-FOZAFRICA (La Faim Option Zéro en Afrique)
-RENCONTRE CONTINENTALE AFRICAINE POUR LA PAIX ET LA SÉCURITÉ (RECAPS) etc.

Pour pérenniser ses initiatives, Johaness M. MAKOUVIA recherche les causes profondes, sensibilise et forme les jeunes aux outils de résolution de problèmes
Johaness M. MAKOUVIA s’implique également dans l’humanitaire à travers son initiative MIDOUNOU. Durant la période covid19, il a fait don de denrées alimentaires et non alimentaires aux populations les plus démunies.
Président et Directeur général
Avec 08 ans d’expérience, Johaness M. MAKOUVIA a de bonnes capacités de communication et est parfaitement capable de travailler sous pression. Bien organisé et capable d’analyser les chiffres et les données pour améliorer les performances.
Le Jeune Entrepreneur Johaness M. MAKOUVIA est, PDG de STAMM entreprises qui compte à son actif 3 sociétés dont STAMM BTP- INGÉNIERIE CIVILE pour les activités de BTP, STAMM SÉCURITÉ spécialisé dans la vidéosurveillance, le gardiennage, la protection des biens et personnes, et STAMM qui est dans le domaine maritime, assurant la sécurité et l’approvisionnement des navires.

Pour son engagement en faveur de la Paix : Johaness MAKOUVIA fait encore parler du Togo dans les 04 coins du monde

La jeunesse togolaise est encore à l’honneur sur la scène internationale. L’esprit de créativité, l’engagement, la vision et le leadership en faveur d’un monde apaisé et vivable incarnée par cette jeunesse sont reconnus et encouragés à l’international.
Le Président International et Président du Conseil d’Administration de l’OIJPP et de l’ONG MJPP décroche le prix Youth Heroes Afrique 2021.
Nominé parmi des milliers jeunes du continent, M. Johaness MAKOUVIA est sacré Prix du meilleur lauréat Youth Heroes Afrique 2021 lors d’une cérémonie de remise officielle dénommée SINERGY AFRICA 2021 initiée par IAYSP Association of Youth and Students of peace tenue par visioconférence samedi 18 décembre 2021.
Fruit d’un engagement sans faille en faveur de la paix
Cette distinction est le signe de reconnaissance des efforts et énergies déployées par le jeune togolais en faveur de la paix menacée par le djihadisme et l’extrémisme violent depuis bon nombre d’années.
En effet, plus de trois ans déjà l’ONG MJPP/ OIJPP Mouvement des Jeunes Promoteurs de la Paix / Organisation Internationale des Jeunes Promoteurs de Paix née au Togo œuvre pour la promotion de la paix basée sur des comportements et des actes de tolérance, le pardon, l’amour du prochain, le vivre-ensemble, la cohésion… Aujourd’hui, elle est présente dans 28 pays de la planète et mobilise plusieurs membres et sympathisants qui incarnent ces valeurs de paix à travers le monde.
Le prix sera officiellement présenté au cours d’une conférence de presse prévue dans la capitale togolaise.

Togo: Izumi Nakamitsu, SGA de l’ONU, à Lomé la semaine prochaine

C’est la capitale togolaise qu’a choisie Izumi Nakamitsu, Secrétaire général adjoint des Nations Unies, pour son premier déplacement en Afrique. Haut Représentant de l’ONU pour les affaires de désarmement, elle séjournera à Lomé du 4 au 6 juillet, où  elle procédera à la réception officielle du nouveau siège du Centre régional des Nations Unies pour la paix et le désarmement en Afrique (UNREC).

Les nouveaux locaux devant servir de siège à l’UNREC offerts par la République Togolaise seront inaugurés le 5 juillet 2018 par Mme Izumi Nakamitsu.

Elle profitera de sa visite dans la capitale togolaise pour lancer officiellement les activités d’un projet d’appui au marquage des armes, à la réhabilitation de magasins et à la destruction des armes, munitions et autres matériels connexes devenus obsolètes au Togo, selon un communiqué de l’UNREC.

Mme Nakamitsu, de nationalité japonaise,  a pris ses fonctions de Secrétaire général adjoint et de Secrétaire général adjoint et Haut Représentant pour les affaires de désarmement le 1er mai 2017. Auparavant, elle occupait le poste d’Administratrice assistante du Groupe de réponse aux crises du Programme des Nations  Unies pour le développement (PNUD) depuis 2014.

L’UNREC a été créé par la résolution 40/151G de l’Assemblée générale des Nations Unies en 1986, avec son siège à Lomé au Togo.

Sidonie Flore Ouwé: “la culture de la paix passe par l’éducation et le respect des principes démocratiques”

Après les hautes fonctions de l’Etat, c’est une autre mission de taille qui attend désormais l’ex-Procureur de Libreville. Sidonie Flore Ouwé, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, vient d’être élue Vice-présidente du Réseau des Femmes Gabonaises pour la Culture de la Paix et le Développement Durable, à l’occasion de l’Assemblée générale du Réseau tenue la semaine dernière dans la capitale gabonaise. Pour atteindre la paix, gage de tout développement, celle qui avait été promue première Présidente de la Cour d’appel judiciaire de Libreville en 2016, compte mettre un accent particulier sur l’éducation à la base et le respect des principes démocratiques.

C’est sans doute sa lutte en faveur de l’émancipation de la femme qui l’a hissée à ce niveau. Sidonie Flore Ouwé, connue pour son combat acharné contre la maltraitance à l’égard de la femme, a été élue Vice-présidente du Réseau des Femmes Gabonaises pour la Culture de la Paix et le Développement Durable. « C’est un sentiment partagé qui m’anime à ce moment ; d’abord celui de reconnaissance à l’endroit de l’ONU qui a bien voulu que ce réseau, quoique panafricain, puisse être piloté par les femmes gabonaises. Ensuite, c’est un sentiment de responsabilité qui m’habite, une responsabilité qui doit justifier ce choix, qui pèse désormais sur nos épaules. Même si en Afrique, on dit que l’homme est là pour tout déchirer et que la femme tient l’aiguille pour coudre, nous allons essayer d’être à la hauteur de la couture pour pouvoir recoller les déchirures causées par les hommes », a-t-elle confié à « Grogne d’Afrique ».

La paix comme facteur de développement

Cette juriste de formation a bien conscience du travail qui l’attend. Pour elle, quand les pays auront des citoyens forgés par l’éducation dans les cellules familiales et académiques, alors le respect de la chose publique ne sera plus un fardeau pour eux ; et par conséquent, la paix sera une réalité. Car, soutient-elle, aucun développement n’est possible sans la paix. « Nous avons pensé ensemble avec les autres sœurs que deux axes doivent fonder nos actions : premièrement réfléchir sur la culture de la paix, en mettant l’accent sur l’éducation, la formation, ensuite sur toutes les questions relatives à la citoyenneté. Parce que la culture de la paix est un processus qu’il faudrait respecter, et ce processus doit commencer par l’éducation à la maison avant de s’étendre à l’éducation scolaire où des propositions doivent être faites pour que tous les comportements, tous les agissements pacifistes puissent être observés par les Africains », a-t-elle indiqué avant d’ajouter : « Nous avons estimé qu’un regard doit être porté sur les droits humains, car si les droits humains ne sont pas respectés, c’est la paix qui est menacée. La culture de la paix passe aussi par le respect des principes démocratiques. Si ces principes sont respectés, je crois que nous serons à l’abri des déstabilisations que nous constatons ici et là».

Plus de places à la femme

Avec le Réseau, Mme Sidonie Flore Ouwé entend œuvrer à plus d’implication des femmes dans les prises de décisions. Et cela passe par les plaidoyers au niveau des décideurs politiques qui doivent désormais comprendre que même si elle est considérée comme le ce sexe faible, la femme reste un maillon fort dans la chaîne de production de la nouvelle Afrique. « Nous pensons également qu’il faudrait avoir un regard appuyé sur les questions en lien avec la discrimination des femmes. D’ailleurs la résolution 1325 des Nations Unies prise en 2000 qui accorde une place de choix aux femmes autour des tables de négociations, doit être vulgarisée à travers l’Afrique pour que les dirigeants puissent véritablement se saisir de cette question», a-t-elle insisté.

Les freins à l’autonomisation de la femme

Dans un pays où les pesanteurs sociologiques ont encore la vie dure, notamment en termes de place de la femme dans la société, ces ambitions somme toute légitimes pourraient se heurter à certains obstacles. L’autonomisation de la femme africaine en général et celle gabonaise en particulier n’est-elle pas un vœu pieux ? Sidonie Flore Ouwé rassure : « L’autonomisation ne se fait pas de façon brutale, automatique, spontanée. C’est un processus qui va de la libération de la femme, libération transversale, multiforme, à son affranchissement, en passant naturellement de l’exercice de la plénitude de ses droits. Nous pensons qu’à ce jour, les femmes ont commencé le processus de l’autonomisation ».
Pour êtres autonomes, souligne-t-elle, les femmes doivent s’organiser en associations, en coopératives, en organisations non gouvernementales qui constituent des garants pour les bailleurs de fonds en vue du financement des projets de femmes en faveur de la paix et du développement durable.

Source: Grogne d’Afrique 

Togo : la société civile formée sur le rôle des femmes dans la lutte contre le terrorisme

14 avril 2014, le monde apprend avec stupeur que plus de 200 filles avaient été kidnappées par le groupe islamiste nigérian Boko Haram. Même si plusieurs d’entre elles ont été libérées, cet événement a attiré l’attention de la communauté africaine et internationale sur ce que le bassin du Lac est devenu un terreau fertile pour le terrorisme. Mais que personne ne s’y trompe, les femmes ne sont pas que victimes des actes terroristes, elles y prennent également une part active. D’où la nécessité de les impliquer dans la lutte contre le phénomène.

Le ministre togolais en charge de la Sécurité, à l’ouverture des travaux, a insisté sur le rôle ô combien indispensable que les femmes peuvent jouer dans la lutte contre les apôtres de la terreur. « En plus d’être victimes, certaines femmes sont actives et jouent des rôles de messagers, d’espions, de recruteurs, bailleurs de fond, contrebandiers et de plus en plus de kamikazes au sein du groupe Boko Haram », a expliqué Damehane Yark avant d’ajouter que « dans ce climat d’insécurité et d’extrême violence, les femmes ont un rôle à jouer et doivent même contribuer à diminuer la souffrance humaine et sauver l’humanité ».

Rappelant la nécessité de la mise en œuvre de la résolution 1325 du conseil Paix et Sécurité de l’ONU, la coordinatrice du système des Nations unies au Togo, a décliné les grands axes de la rencontre de Lomé qui va durer trois jours. « La rencontre d’aujourd’hui va faire le point sur la situation, et contribuer à relever le défi lié à la paix, à la sécurité, à la lutte contre la radicalisation, l’extrémisme violent et le terrorisme, a indiqué Khardiata Lo Ndiaye. Il sera aussi question du rôle éminent des femmes dans la lutte contre les maux qui seront diagnostiqués durant les trois jours de l’atelier ».

Financé par le Royaume de la Suède, le présent atelier est l’activité principale de l’UNREC, en conformité avec les différentes résolutions du Conseil de sécurité et de l’AG des Nations Unies sur les femmes, le désarmement, la non-prolifération et le contrôle des armes.