55e anniversaire de Faure Gnassingbé : Les leaders des marchés du Grand-Lomé en mode prière intense

Les leaders des marchés du Grand-Lomé réunis dans la Faitière des associations des marchés du Grand-Lomé (FAMaL) ont béni, le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé ce dimanche 06 juin 2021, à l’occasion de son anniversaire de naissance.

« La Bible nous recommande de l’obéissance à l’endroit de nos dirigeants. Nous devons les soutenir et prier pour leur bonheur. Notre prière est que le Seigneur bénisse davantage notre Président de la République. Qu’il soit comblé de la paix et de la grâce divine. Que les 55 ans du PR ouvrent de grandes portes à notre pays afin qu’il soit prospère et qu’il brille davantage dans le monde entier », nous a confié Mme TIKENA Manangora, Présidente du marché d’Attiégou.

Pour rappel, Faitière des associations des marchés du Grand-Lomé se veut une organisation servant de pont entre les autorités gouvernementales, municipales et les marchés de la place.

Elle est résolument engagée dans la lutte contre la Covid-19.

Le canton d’Aflao Sagbado salue la politique de développement du chef de l’Etat

Depuis l’arriver de Togbui Edem SEMEKONAWO à la tête du canton d’Aflao SAGBADO, il ne cesse de ménager aucun effort pour accompagner la politique de développement du président de la République son excellence Faure GNASSINGBE.
C’est ainsi que les initiatives et des actions de développement communautaire se multiplient avec de forte conviction à l’endroit des jeunes et les femmes. L’installation de COGEF (Fédération de Gestion des Funérailles), AVDeCAS (Association des volontaires pour le Développement du Canton d’Aflao SAGBADO, sont des cas d’exemples.
En prélude de la fête de Dunényoza célébrée dans le mois dernier, Togbui Edem SEMEKONAWO n’a pas manqué l’occasion de faire une tournée de sensibilisation dans les centres de métiers qui sont dans le canton. Le message principal est la paix, le travail et une autonomisation totale des jeunes. Des valeurs qui incarnent le mandat social du Chef de l’Etat.
De nos jours, l’on peut croire que les populations d’Aflao SAGBADO ont compris le message de leur chef traditionnel. C’est d’ailleurs cette volonté manifeste de soutenir le président de la République qui motive de diverses associations dudit canton à dédier des attestations de reconnaissance et de remerciements à son excellence Faure GNASSINGBE.
Aflao Sagbado se rapproche ainsi du globe de paix que le président de la République a construit.

ANIKA Amen

Togo: Faure Gnassingbe appelé à favoriser le retour de Tikpi Atchadam

Tikpi Atchadam a-t-il “zéwa” (fui) le Togo? Une chose est sûre, l’opposant, à l’origine des manifestations du 19 août 2017, ne vit pas actuellement au Togo qu’il a quitté depuis plusieurs mois. Son retour est-il nécessaire pour la suite des événements? En tout cas, les chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (Cedeao) ont évoqué le sujet avec leur homologue togolais Faure Gnassingbé.

A en croire La Lettre du Continent, dans son numéro 781 de ce 18 juillet 2018, le retour au Togo de Tikpi Atchadam était au cœur des discussions entre Faure Gnassingbé et Alassane Ouatarra lors de la récente visite du Togolais chez son homologue ivoirien.

Avant cela, Nana Akufo-Addo et Alpha Condé, facilitateurs de la crise togolaise, avaient, lors de la reprise du dialogue politique fin juin, demandé à Faure Gnassingbé de prendre des “dispositions” afin de permettre le retour de Tikpi Atchadam. Chose que Ouatarra aurait rappelée à son homologue.

Qu’est-ce que le leader du PNP risque en cas de retour au Togo, étant entendu que les ministres de la Sécurité Damehame Yark et de l’Administration territoriale Payadowa Boukpessi entendent imposer des “conditions spéciales” à Atchadam accusé de “troubles à l’ordre public et d’incitation à la haine”?

En attendant cet hypothétique retour au bercail, La Lettre du Continent croit savoir que l’opposant togolais a quitté la ville de Téma, “où il logeait dans une villa prêtée par un ami, pour une résidence plus huppée à East Legon, au cœur d’Accra“.

Togo: On balise la voie pour le 31 juillet

Les facilitateurs de la CEDEAO l’ont dit et redit: il faut autoriser les manifestations de l’opposition dans les villes en état de siège de fait depuis plusieurs mois.  À partir du 20 juillet,  la coalition de l’opposition expérimentera pour la première fois cette liberté retrouvée dans les villes de Sokodé,  Tchamba,  Bafilo et Mango.

L’autre exigence de Nana Akufo-Addo et Alpha Condé reste la libération de toutes les personnes arrêtées et jetées en prison dans le cadre des manifestations de l’opposition.  Même s’ils sont encore nombreux dans les geôles,  Faure Gnassingbé a accordé mardi la liberté provisoire à de 12 détenus et une remise de peine à 7 autres dans trois centres carcéraux du Togo.  Une grâce présidentielle qui s’analyse comme un signe de bonne volonté pour décanter la crise qui secoue le pays depuis le 19 août.

Dans la foulée,  on annonce pour jeudi une rencontre entre la Coalition présidée par Brigitte Adjamagbo-Johnson et la Commission de la CEDEAO,  en vue de la réouverture du dialogue inter-togolais.

De part et d’autre,  on note une volonté de voir enfin se terminer le statu quo. D’un côté,  le gouvernement se dit “prêt à opérer les réformes“, ainsi que l’a rappelé le ministre Octave Nicoué Broohm.  De l’autre,  la Coalition de l’opposition s’est montrée très prudente en maintenant ses manifestations d’avant le sommet de la Cedeao,  malgré la “désolidarisation” du PNP de Tikpi Atchadam pour des raisons que la C14 dit comprendre tout de même.

Reste à présent que les recommandations qui seront issues de la rencontre des chefs d’État et de gouvernement de l’espace sous-régional soient acceptées et respectées par les deux parties.  Car comme l’a dit l’ambassadeur de France près le Togo,  Marc Vizy, “les recommandations de la CEDEAO sont déterminantes pour le Togo“.

Crise togolaise – France, CEDEAO, pouvoir et C14 : un vrai cocktail indigeste

L’appel de la C14

«Togolaises et Togolais des villes de Mango, Bafilo, Sokodé, Lomé, Tsévié, Atakpamé et Kpalimé, Organisations de défense des droits de l’Homme, associations de presse, syndicats et associations de la société civile, travailleurs des secteurs publics et privés, revendeuses des marchés, taximen, zémidjans, étudiants, munis de drapelets togolais, une fois encore, soyons tous au rendez-vous les 13, 14, 21, 28 et 29 juillet 2018 aux lieux des meetings pour recevoir les informations appropriées au renforcement de votre détermination ».

C’est par ces mots que la Coalition des 14 partis de l’opposition togolaise a appelé mardi à la reprise de ses manifestations, pour exiger le retour à la Constitution originelle de 1992, les réformes institutionnelles, la révision du cadre électoral y compris le droit de vote des Togolais de la diaspora, la libération des manifestants arrêtés dans l’exercice de leur droit constitutionnel et la levée de l’état de siège de fait dans les villes de Mango, Bafilo, Sokodé, Tchamba, Kara et des quartiers de Lomé, l’arrêt immédiat des rafles dans les quartiers de la capitale et sur toute l’étendue du territoire et le retour des réfugiés et des déplacés.

Boukpessi et le « risque d’une crise institutionnelle »

L’appel à manifester à Sokodé, Bafilo, Tchamba et Mango, quatre villes en état de siège de fait, va-t-il être couronné de succès ? On ne connait pas pour l’heure la position du ministre en charge de l’Administration territoriale. En revanche, on sait ce que pense Payadowa Boukpessi des élections législatives. « Nous courons le risque d’une crise institutionnelle si nous n’organisons pas les élections législatives au Togo avant la fin de l’année 2018 », a déclaré le ministre samedi lors du symposium de la jeunesse organisé à Kara, en marge de la fête traditionnelle Evala.

Ces propos de Payadowa Boukpessi sonnent dans les oreilles des opposants au pouvoir de Lomé comme la « confirmation de la volonté du régime de faire un passage forcé ». « Ce n’est pas étonnant que Boukpessi dise ces choses, puisque cela va dans le fil droit de ce qu’a déjà dit la Cour Constitutionnelle d’Aboudou Assouma aux ordres du prince », a analysé un des responsables de la Coalition.

Qu’est-ce donc qu’une crise institutionnelle ? Me Zeus Atta Messan Ajavon persiste et signe : « le vide constitutionnel n’existe pas ! ». Le ministre et le professeur de Droit parlent-ils de la même chose ?

Macron, le statut quo et le Nigeria

S’exprimant récemment sur la situation politique togolaise, Emmanuel Macron a indiqué que « le statut quo n’est plus possible pour le Togo ». Un bout de phrase interprété par chaque camp selon que cela l’arrange. Pour les partisans du pouvoir, le statut quo signifie la crise actuelle née le 19 août 2017 et « alimentée par l’opposition ». Tandis que dans les rangs de l’opposition, ces propos du président français résonnent comme la « lassitude d’un chef d’Etat français de voir la même famille biologique diriger tout un pays pendant un demi-siècle ».

En tous les cas, le président français compte bien proposer un schéma de sortie de crise qui implique le Nigeria en pole position. “Le président (Muhammadu, ndlr) Buhari entre en période électorale,  et je pense que le Nigeria aura,  après cette période électorale,  un rôle important à jouer à la solution de cette crise “, avait-il déclaré ajoutant que “la France viendra en soutien de ces solutions portées par les chefs d’État africains et l’Union africaine“.

Un politologue togolais, qui a requis l’anonymat, coupe la poire en deux : « Par cette déclaration, Emmanuel Macron veut juste rappeler au Nigeria que la France a la main sur la crise togolaise. Une façon d’éteindre les déclarations tapageuses de Buhari et lui dire que le Nigeria ne peut agir dans la crise togolaise que dans le périmètre que la France aura aménagé pour les acteurs régionaux ». « Entendons-nous bien, les élections au Nigeria, c’est en 2019. Est-ce à dire que les Togolais vont devoir attendre d’ici là ? Moi je pense que la solution à la crise togolaise n’est pas extérieure. Il faut nécessairement une stratégie interne qui sera appuyée par l’extérieur », propose-t-il.

Vivement les recommandations de la CEDEAO !

Les 30 et 31 juillet, les chefs d’Etat et de gouvernement de la Cedeao se réuniront en sommet à Lomé. Des recommandations pour une sortie de crise sont très attendues.  Là encore, pouvoir et opposition tentent de tirer  le drap chacun de son côté. A Lomé II, le discours est presque le même : « le Togo est un Etat souverain, Faure Gnassingbé est un président élu. Il n’appartient pas à ses pairs de la CEDEAO de venir le déloger ou de lui imposer de ne pas être candidat en 2020 », glose un ministre conseiller du chef de l’Etat togolais, un pilier de la vieille garde.

L’opposition, elle, ou tout du moins la Coalition, se montre sereine. Pour Brigitte Adjamagbo-Johnson, présidente de la C14, « la CEDEAO n’irait que dans le sens de la volonté du peuple ». Jean Eklou, le leader de la jeunesse de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), parti membre du regroupement des 14, met en garde contre le « tollé général » qu’il pourrait y avoir au cas où les recommandations de l’Organisation sous régionale ne seraient pas « conformes aux attentes du peuple togolais ».

C’est qui le peuple togolais ? A qui appartient le peuple ? Que veut ce peuple ?  C’est une difficile équation à résoudre pour Alpha Condé, Nana Akufo-Addo et leurs pairs de la sous-région. Mais déjà, Jean-Pierre Fabre est catégorique : « la CEDEAO ferait preuve d’une insoutenable légèreté aujourd’hui si elle proposait, encore une fois, après ce drame, que Faure Gnassingbé soit admis à se présenter pour un 4e mandat, contre la volonté de la majorité des Togolais, comme le confirme le sondage Afro-Baromètre rendu public récemment ». Bon à suivre…

Ambroise D.

 

 

 

Togo: Gnassingbé et la SGA de l’ONU inaugurent le nouveau siège de l’UNREC ce jeudi

Mme Izumi Nakamitsu, qui effectue son premier déplacement en Afrique depuis sa nomination au poste de Secrétaire général adjoint et Haut Représentant pour les affaires de désarmement en mai 2017, est arrivée à Lomé mercredi. Elle procédera ce jeudi 05 juillet, à la réception officielle des nouveaux locaux du Centre régional des Nations Unies pour la paix et le désarmement en Afrique (UNREC), dont la construction est entièrement financée par l’Etat togolais.

On annonce la présence du président de la République du Togo, Faure Gnassingbé, à cette cérémonie qui intervient quelques jours seulement après que le Togo a pris la tête du Conseil Paix et de Sécurité de l’Union Africaine, lors du dernier sommet de l’union à Nouakchott.

La présence au Togo, du siège du Centre régional des Nations Unies pour la paix et le désarmement en Afrique  était le fruit de l’offensive diplomatique togolaise sous Gnassingbé Eyadéma, alors que de grands pays comme l’Afrique du Sud, le Nigéria ou le Kenya étaient de sérieux candidats.

Facile donc de comprendre pourquoi l’ancien président du Togo n’avait pas hésité à débourser des dizaines de millions de FCFA au moment où le Centre traversait des moments difficiles. Pas non plus étonnant si le gouvernement actuel a financé la construction de ces locaux qui seront inaugurés ce jeudi.

 

 

Le MUTAA, un des dossiers prioritaires du 31è sommet de l’UA

Plusieurs chefs d’État et de gouvernement africains se réunissent ce dimanche 1er juillet à Nouaktchott où s’ouvre le 31é sommet de l’Union Africaine (UA).  Plusieurs dossiers seront abordés, dont l’opérationnalisation du Marché Unique de Transport Aérien en Afrique (MUTAA),  un dossier si cher au Togo.

Cette rencontre panafricaine, prévue pour deux jours, aura pour thème principal «vaincre la corruption, une voie durable pour la transformation de l’Afrique ». Occasion pour les dirigeants africains de mettre en place, après examen, une feuille de route pour éradiquer le fléau sur le continent.

Les réformes institutionnelles, le libre-échange continental, les négociations pour les nouveaux accords ACP-UE, et bien entendu les crises sociopolitiques, la paix et la sécurité en Afrique et l’immigration, seront les questions prioritaires sur lesquelles les chefs d’État vont plancher. Mais pas que !

L’opérationnalisation du Marché Unique de Transport Aérien en Afrique occupera une partie importante des discussions dans la capitale mauritanienne, avec une communication très attendue du président togolais Faure Gnassingbé reconnu “champion du MUTAA” lors du dernier sommet de l’UA à Kigali.

Le président français Emmanuel Macron participe également à ce sommet en marge duquel Faure Gnassingbé aura des rencontres bilatérales avec ses pairs et
des partenaires au développement.

 

Attentat contre le G5 Sahel: Faure Gnassingbé plaide pour la solidarité internationale

Dans un communiqué rendu public ce samedi 30 juin,  le président togolais par ailleurs président en exercice de la Communauté économique des États d’Afrique de l’ouest (CEDEAO)  déclare avoir appris avec “consternation le lâche et barbare attentat commis contre le Quartier Général de la Force conjointe du G5 sahel“.

Au nom de ses pairs,  Faure Gnassingbe “condamne avec vigueur ces actes criminels et ignobles et présente ses condoléances et compassion au peuple malien et à son gouvernement ainsi qu’aux familles endeuillées“.

Cette nouvelle attaque terroriste est la preuve que, plus que jamais,  la solidarité internationale et une stratégie vigoureuse et globale s’avèrent nécessaires voire urgentes pour préserver nos peuples contre de telles barbaries”, plaide le président togolais.

Il ne s’agit pas de la première attaque de ce type à Sévaré. Le 7 août 2015, une attaque contre un hôtel de cette localité avait fait 13 morts, dont quatre étrangers –deux Ukrainiens, un Népalais et un Sud-Africain–, employés par des sous-traitants de la Minusma.

Malgré l’accord de paix au Mali signé en mai-juin 2015, les violences jihadistes ont persisté et se sont propagées du nord vers le centre et le sud du pays, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des tensions ou des conflits intercommunautaires.

 

Nigéria -Togo: Faure Gnassingbé salue l’excellence des relations entre les deux pays

Au Nigéria, le président togolais a d’abord présenté ses condoléances aux familles des neufs personnes tuées dans l’explosion d’un camion-citerne à Lagos en milieu de semaine. “En ce moment, j’ai une pensée pieuse pour les 09 personness décédées au cours de l’explosion d’un camion-citerne à Lagos. Puissent leurs âmes reposer en paix“, a tweeté Faure Gnassingbé.

Il a également salué l’excellence des relations que le Togo entretient avec le Nigéria, l’un de ses principaux partenaires. “Notre pays le Togo, a-t-il indiqué, et la République Fédérale soeur du Nigéria entretiennent d’excellentes et fructueuses relations. Le Nigéria est l’un de nos principaux partenaires dans la mise en oeuvre du MIFA Togo dont j’ai procédé lundi dernier au lancement officiel“.

Élu à la présidence tournante de l’organisation pour un an, Faure Gnassingbé devrait passer le témoin lors du prochain sommet de la l’Organisation en juillet à Lomé. Des résolutions pour une sortie de crise sont attendues de cette rencontre des chefs d’Etat et de gouvernement.

Energie renouvelable: Ségolène Royal se félicite des efforts du Togo

L’ancienne ministre française de l’Ecologie a notamment apprécié le Togo pour sa politique nationale d’électrification. Elle a en outre salué l’engagement de Faure Gnassingbé dans la mise en œuvre des recommandations de la COP21 ainsi que sa participation active au premier sommet de l’ASI qui s’est tenu en mars dernier en Inde.

« J’ai eu des échanges fructueux avec le Président de la République. Je l’ai remercié pour la stratégie de transition énergétique mise en place et sa participation active à la conférence sur le climat (la COP21) et au sommet de l’Alliance solaire internationale. Le Togo est un membre exemplaire de l’ASI parce qu’il a fait l’un des meilleurs plans de projection de raccordement à l’électricité notamment solaire. Le pays prévoit le raccordement de toute la population à l’électricité à l’horizon 2030. C’est un projet très concret avec une feuille de route très opérationnelle », a indiqué Mme Ségolène Royal à l’issue de l’entretien.

Avant la table ronde des bailleurs et investisseurs pour le lancement officiel de la nouvelle stratégie d’électrification du pays, qui se tient ce mercredi, l’actuelle Ambassadrice de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique effectuera ce mardi après-midi des visites de terrain notamment dans les Lacs en vue d’échanger avec les populations bénéficiaires des projets d’électrification rurale.

Le projet présidentiel Ciso et ceux de la CEET (Compagnie Energie Electrique du Togo) sont entre autres efforts réalisés par l’Etat togolais en matière d’énergie renouvelable accessible à tous.