Ce n’est un secret pour personne que l’éducation scolaire des jeunes reste un défi constant pour les enfants, les parents, mais aussi pour les pouvoir publics à travers le monde. Ainsi, au Togo, le gouvernement s’est lancé depuis près de huit ans dans plusieurs initiatives et programmes pour lutter contre le risque d’exclusion sociale des jeunes déscolarisés, mettant à profit chaque couche sociale impliquée dans le développement et l’épanouissement de la jeunesse.
À Lomé, dans la capitale comme dans les coins reculés du pays, la gratuité de l’éducation scolaire à la base a permis aux parents d’encourager davantage l’éducation scolaire de leurs enfants et des jeunes. Cela a eu un impact sans précédent sur les chiffres de scolarisation du Togo et a fait chuter considérablement le nombre de jeunes déscolarisés ou sous-scolarisés.
Toutefois, le nombre de jeunes en difficultés pour profiter du système scolaire reste important, en partie à cause de plusieurs facteurs sociaux dont le mariage précoce ou encore la vie rurale où l’activité agricole est plus privilégiée par les parents. Cependant, négliger cela pourrait engendrer d’autres complications et constituer par ricochet un handicap pour le développement de la société togolaise.
Cette situation, le gouvernement togolais en a conscience et ne ménage aucun effort pour trouver de façon constante, mais surtout adaptée, des solutions pour insérer les jeunes déscolarisés dans la société via différents programmes et projets. En 2016 par exemple, les autorités togolaises ont initié un programme de volontariat en faveur des jeunes déscolarisés ou semi-scolarisés.
Dénommé “Jeune volontaire déscolarisé” (JDS), ce programme a permis, en premier lieu, à plus de 500 volontaires, en majorité des femmes, de travailler au sein de structures d’assainissement de la ville de Lomé. Depuis, le JDS a touché d’autres milliers de jeunes dans d’autres villes du Togo, car en janvier 2019, la suite a été lancée au travers du programme de volontariat d’engagement citoyen (VEC).
Destiné aux Togolais de 18 à 35 ans, l’initiative louable du gouvernement togolais, vise notamment à promouvoir les valeurs citoyennes et l’amélioration du cadre de vie. À ce jour, le VEC a touché des villes de l’intérieur du pays comme Aného, Badou, Bafilo, Blitta, Cinkassé, Guérin-Kouka et Tabligbo. La durée de mission est aussi passée de 4 à 6 mois.
Au cours des sept dernières années, ces actions du gouvernement ont eu un impact significatif sur la jeunesse déscolarisée. Insérés dans plusieurs structures au profit du développement, des milliers de jeunes se sont non seulement occupés, mais ils se sont redécouverts. Appartenir à un groupement et participer au développement du pays leur a fait comprendre leur importance et leurs responsabilités dans la société.
Initiés à l’entrepreneuriat, plusieurs de ces jeunes se sont investis davantage dans le développement de l’économie du Togo au travers de leurs propres projets. Plusieurs ont d’ailleurs bénéficié des programmes d’accompagnements des couches vulnérables au sein des institutions financières du pays.
Togo : Comment le gouvernement lutte contre le risque d’exclusion sociale de jeunes déscolarisés ?
Ce n’est un secret pour personne que l’éducation scolaire des jeunes reste un défi constant pour les enfants, les parents, mais aussi pour les pouvoir publics à travers le monde. Ainsi, au Togo, le gouvernement s’est lancé depuis près de huit ans dans plusieurs initiatives et programmes pour lutter contre le risque d’exclusion sociale des jeunes déscolarisés, mettant à profit chaque couche sociale impliquée dans le développement et l’épanouissement de la jeunesse.
À Lomé, dans la capitale comme dans les coins reculés du pays, la gratuité de l’éducation scolaire à la base a permis aux parents d’encourager davantage l’éducation scolaire de leurs enfants et des jeunes. Cela a eu un impact sans précédent sur les chiffres de scolarisation du Togo et a fait chuter considérablement le nombre de jeunes déscolarisés ou sous-scolarisés.
Toutefois, le nombre de jeunes en difficultés pour profiter du système scolaire reste important, en partie à cause de plusieurs facteurs sociaux dont le mariage précoce ou encore la vie rurale où l’activité agricole est plus privilégiée par les parents. Cependant, négliger cela pourrait engendrer d’autres complications et constituer par ricochet un handicap pour le développement de la société togolaise.
Cette situation, le gouvernement togolais en a conscience et ne ménage aucun effort pour trouver de façon constante, mais surtout adaptée, des solutions pour insérer les jeunes déscolarisés dans la société via différents programmes et projets. En 2016 par exemple, les autorités togolaises ont initié un programme de volontariat en faveur des jeunes déscolarisés ou semi-scolarisés.
Dénommé “Jeune volontaire déscolarisé” (JDS), ce programme a permis, en premier lieu, à plus de 500 volontaires, en majorité des femmes, de travailler au sein de structures d’assainissement de la ville de Lomé. Depuis, le JDS a touché d’autres milliers de jeunes dans d’autres villes du Togo, car en janvier 2019, la suite a été lancée au travers du programme de volontariat d’engagement citoyen (VEC).
Destiné aux Togolais de 18 à 35 ans, l’initiative louable du gouvernement togolais, vise notamment à promouvoir les valeurs citoyennes et l’amélioration du cadre de vie. À ce jour, le VEC a touché des villes de l’intérieur du pays comme Aného, Badou, Bafilo, Blitta, Cinkassé, Guérin-Kouka et Tabligbo. La durée de mission est aussi passée de 4 à 6 mois.
Au cours des sept dernières années, ces actions du gouvernement ont eu un impact significatif sur la jeunesse déscolarisée. Insérés dans plusieurs structures au profit du développement, des milliers de jeunes se sont non seulement occupés, mais ils se sont redécouverts. Appartenir à un groupement et participer au développement du pays leur a fait comprendre leur importance et leurs responsabilités dans la société.
Initiés à l’entrepreneuriat, plusieurs de ces jeunes se sont investis davantage dans le développement de l’économie du Togo au travers de leurs propres projets. Plusieurs ont d’ailleurs bénéficié des programmes d’accompagnements des couches vulnérables au sein des institutions financières du pays.
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