Membres de l’Association des personnes albinos (APAM), ces six candidats vont briguer un siège au Parlement ou dans un des conseils municipaux du pays.
“C’est un progrès car un des facteurs qui contribue aux violations de nos droits est précisément notre invisibilité“, a commenté à l’AFP le directeur de l’ONG, Overstone Kondowe.
“Dans le passé, nous n’avons jamais activement participé à la vie politique, au développement (du pays) ou aux décisions du gouvernement”, a-t-il ajouté, les élections sont “une façon de briser ce mur et de placer certains de nos membres dans des institutions qui prennent des décisions“.
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