Circulation à Lomé : Togbui Adjikou 1er réactive les feux tricolores d’Adakpamé
octobre 5, 2024 :
Après plusieurs semaines d’interruption, les feux tricolores situés au carrefour d’Adakpamé, en plein centre-ville de Lomé, sont de nouveau opérationnels. Ce rétablissement n’est pas le fruit du hasard. Derrière cette initiative, on retrouve Togbui Lanklivi Adjikou 1er, chef quartier…Load more
Après plusieurs semaines d’interruption, les feux tricolores situés au carrefour d’Adakpamé, en plein centre-ville de Lomé, sont de nouveau opérationnels. Ce rétablissement n’est pas le fruit du hasard. Derrière cette initiative, on retrouve Togbui Lanklivi Adjikou 1er, chef quartier d’Adakpamé-Kpota-Colas.
D’après nos investigations, c’est grâce à l’intervention directe de ce jeune garant des us et coutumes que ces feux ont été réparés.
Le chef de quartier, soucieux de la sécurité routière de sa communauté, a financé la remise en état des installations, injectant une somme considérable pour leur réparation.
Les feux tricolores jouent un rôle crucial dans la régulation de la circulation, notamment à des carrefours stratégiques comme celui d’Adakpamé. Leur absence ou leur dysfonctionnement entraîne non seulement un chaos quotidien pour les automobilistes, mais expose aussi les piétons à de graves risques d’accidents. Dans une ville en expansion rapide comme Lomé, où le nombre de véhicules ne cesse d’augmenter, le bon fonctionnement des feux tricolores est vital pour fluidifier la circulation et éviter des embouteillages interminables.
Malheureusement, le problème des feux tricolores en panne n’est pas limité à Adakpamé. De nombreux carrefours de la capitale souffrent du même dysfonctionnement, créant des désagréments majeurs pour les usagers de la route. La situation demande des actions concertées et des investissements réguliers.
L’exemple de Togbui Lanklivi Adjikou 1er devrait inspirer d’autres leaders communautaires. Certes, le gouvernement a la responsabilité d’entretenir les infrastructures publiques, mais il ne peut pas tout faire seul. Chaque citoyen, à son niveau et selon ses moyens, peut et doit contribuer à l’amélioration des conditions de vie dans son quartier.