Campagne électorale: l’ANC dénonce le comportement des militants de Faure Gnassingbé sur terrain
février 11, 2020 :
L’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) dans le cadre de la campagne électorale comptant pour le scrutin du 22 février prochain, a tenu une conférence de presse ce mardi 11 février 2020 à son siège à Lomé. Lors de cette…Load more
L’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) dans le cadre de la campagne électorale comptant pour le scrutin du 22 février prochain, a tenu une conférence de presse ce mardi 11 février 2020 à son siège à Lomé.
Lors de cette rencontre avec la presse, le parti de Jean Pierre FABRE, candidat à la présidentielle de 2020, a dénoncé les irrégularités que le parti rencontre sur ses lieux de meeting.
Selon l’ANC, dès le lancement de la campagne électorale le 06 février dernier, le Président Jean Pierre FABRE, en tournée dans les régions des Savanes, de la Kara et Centrale, ne cesse de rencontrer des pires difficultés pour battre campagne comme la loi l’y autorise.
Ainsi, à en croire Isabelle AMEGANVI, 2ème vice-presidente du parti, dans l’après-midi du lundi 10 février, certains individus se réclamant du parti UNIR, aborant des tricots, foulards et casquettes à l’effigie du candidat Faure Gnassingbé, ont empêché la tenue à Bassar, du meeting de campagne du candidat de l’ANC.
« Ces individus à motos et à bord de camions et de véhicules Pick UP 4 x 4, armés de bâtons, de machettes et d’objet contondants, provoquent et intimident les populations sous le regard indifférent des forces de l’ordre et des représentants de la CENI, institution chargée de l’organisation de l’élection présidentielle du 22 février 2020 », a dénoncé la 2ème Vice-Presidente de l’ANC, Maître Isabelle AMEGANVI.
Les meetings du parti orange qui devraient également se tenir à Guérinkouka, Cinkanssé, Tandjoaré et à Gando ont été interdits par des autorités locales sous diverses raisons que l’ANC qualifie d’injustice.
Cependant, Jean Pierre FABRE et les siens dénoncent et comdamnent ces comprtements antirépublicains, les harcèlements et menaces de la part des autorités locales ainsi que les dérives liberticides du régimes UNIR.
L’ANC demande à la CENI d’agir en faisant en sorte que tous les candidats et leurs partis puissent effectivement et pleinement jouir des libertés publiques reconnues et garanties par la constitution et les lois de la république.
Romuald A.