La rentrée scolaire 2018- 2019, un calvaire pour les parents Forte probabilité d’une baisse du taux de scolarité

La rentrée

La rentrée scolaire prochaine aura toujours lieu le 24 septembre prochain. Une date qui frustre les parents et les acteurs du secteur de lenseignement.
Quant on sait que la rentrée, c’est aussi et surtout beaucoup de boulot, de contraintes financières et parfois d’angoisse.
Alors que les vacances sont assez courtes ne permettant pas aux parents de se ressourcer financièrement pour prendre en charge les besoins financier et assurer une bonne rentrée de leurs enfants.
Cest la confusion et la frustration qui ont pris place dans les esprits des parents délèves.

Il existe des élèves qui sont eux même leurs propres parents. Normalement ces genres denfants profitent aussi des 2 mois des vacances pour faire suffisamment des jobs afin de pouvoir payer leurs scolarité. Mais cette année ne sera que du chaos pour eux.

Même les établissements scolaires surtout privés son inquiet de cette rentrée qui est toujours maintenue sur la date du 24 initiale.

La situation apparait légère mais elle est très dangereuse. Certains élèves risquent dabandonner les bancs pour cette rentrée 2018- 2019 faute de moyens financiers vu la situation socioéconomique que traverse la majorité des population du pays.

Il doit falloir que les acteurs externes de léducation qui sont les ONG, les associations et même les personnes de bonnes volontés viennent en aide aux gouvernements qui ne cesse dailleurs de ménager aucun effort pour stabiliser le fonctionnement du secteur de lenseignement.

Une année scolaire bâclée, cest une année de retard du pays en matière économique, politique et social.
Léducation est un secteur vital à ne pas négliger dans la croissance dun pays qui se veut développer.
Vivement que les actions de dons, et de soutiens aux élèves se doubles cette année par rapport aux années précédentes afin déviter le chaos qui guette notre pays, le Togo

Amen ANIKA

Education et emploi: l’ONG-IJD vient en appui aux efforts des parents

Une chose est de faire des études, une autre est de trouver un emploi après avoir amassé des diplômes. Dans un monde de forte compétitivité et où la démographie va de façon exponentielle, réussir son insertion socio-professionnelle après ses études est devenu presque un miracle. Et pourtant, avec quelques astuces, les enfants pourraient ne plus devenir une charge pour les parents à l’issue de leur formation. C’est cette solution que veut apporter l’ONG Initiatives des Jeunes pour le Développement (IJD), à travers le “Projet d’orientation et d’initiation des enfants/jeunes à la vie professionnelle”.

Les efforts et sacrifices des parents pour l’éducation de leurs enfants sont louables. Malheureusement, la déception est grande à l’issue de la formation. Difficulté à trouver de l’emploi ou à entreprendre. Une situation qui s’explique par la méconnaissance des réalités actuelles du monde du travail, la méprise des talents/dons des enfants, et surtout la mauvaise orientation scolaire et professionnelle des enfants, entraînant le gaspillage de ressources, l’investissement non rentable des parents, un souci pour la famille, des problèmes sociétaux.

L’ONG-IJD a pensé à tout ça! Grâce à ses “spécialistes de l’éducation”, formés par des experts américains et canadiens, l’ONG dirigée par Pascal Edoh Agbové entend conseiller, suivre, accompagner et détecter les talents des apprenants en vue de leur orientation professionnelle. Chose que seuls les parents et les professeurs de maison, communément appelés répétiteurs, ne peuvent plus réussir.

Bref,  un suivi et un encadrement seront assurés durant le parcours scolaire de l’enfant jusqu’à son insertion dans la vie pratique, avec des activités socio-éducatives prévues pendant les vacances scolaires et au cours de l’année scolaire pour les enfants.

Depuis une vingtaine d’années, l’ONG-IJD, à travers plusieurs initiatives, contribue à l’insertion socioprofessionnelle des jeunes, participant ainsi aux efforts des pouvoirs publics dans la lutte contre la pauvreté et le chômage au Togo.

Pour en savoir davantage sur ce projet, il suffit de composer le 22 50 88 64 ou le 90775700.

Sidonie Flore Ouwé: “la culture de la paix passe par l’éducation et le respect des principes démocratiques”

Après les hautes fonctions de l’Etat, c’est une autre mission de taille qui attend désormais l’ex-Procureur de Libreville. Sidonie Flore Ouwé, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, vient d’être élue Vice-présidente du Réseau des Femmes Gabonaises pour la Culture de la Paix et le Développement Durable, à l’occasion de l’Assemblée générale du Réseau tenue la semaine dernière dans la capitale gabonaise. Pour atteindre la paix, gage de tout développement, celle qui avait été promue première Présidente de la Cour d’appel judiciaire de Libreville en 2016, compte mettre un accent particulier sur l’éducation à la base et le respect des principes démocratiques.

C’est sans doute sa lutte en faveur de l’émancipation de la femme qui l’a hissée à ce niveau. Sidonie Flore Ouwé, connue pour son combat acharné contre la maltraitance à l’égard de la femme, a été élue Vice-présidente du Réseau des Femmes Gabonaises pour la Culture de la Paix et le Développement Durable. « C’est un sentiment partagé qui m’anime à ce moment ; d’abord celui de reconnaissance à l’endroit de l’ONU qui a bien voulu que ce réseau, quoique panafricain, puisse être piloté par les femmes gabonaises. Ensuite, c’est un sentiment de responsabilité qui m’habite, une responsabilité qui doit justifier ce choix, qui pèse désormais sur nos épaules. Même si en Afrique, on dit que l’homme est là pour tout déchirer et que la femme tient l’aiguille pour coudre, nous allons essayer d’être à la hauteur de la couture pour pouvoir recoller les déchirures causées par les hommes », a-t-elle confié à « Grogne d’Afrique ».

La paix comme facteur de développement

Cette juriste de formation a bien conscience du travail qui l’attend. Pour elle, quand les pays auront des citoyens forgés par l’éducation dans les cellules familiales et académiques, alors le respect de la chose publique ne sera plus un fardeau pour eux ; et par conséquent, la paix sera une réalité. Car, soutient-elle, aucun développement n’est possible sans la paix. « Nous avons pensé ensemble avec les autres sœurs que deux axes doivent fonder nos actions : premièrement réfléchir sur la culture de la paix, en mettant l’accent sur l’éducation, la formation, ensuite sur toutes les questions relatives à la citoyenneté. Parce que la culture de la paix est un processus qu’il faudrait respecter, et ce processus doit commencer par l’éducation à la maison avant de s’étendre à l’éducation scolaire où des propositions doivent être faites pour que tous les comportements, tous les agissements pacifistes puissent être observés par les Africains », a-t-elle indiqué avant d’ajouter : « Nous avons estimé qu’un regard doit être porté sur les droits humains, car si les droits humains ne sont pas respectés, c’est la paix qui est menacée. La culture de la paix passe aussi par le respect des principes démocratiques. Si ces principes sont respectés, je crois que nous serons à l’abri des déstabilisations que nous constatons ici et là».

Plus de places à la femme

Avec le Réseau, Mme Sidonie Flore Ouwé entend œuvrer à plus d’implication des femmes dans les prises de décisions. Et cela passe par les plaidoyers au niveau des décideurs politiques qui doivent désormais comprendre que même si elle est considérée comme le ce sexe faible, la femme reste un maillon fort dans la chaîne de production de la nouvelle Afrique. « Nous pensons également qu’il faudrait avoir un regard appuyé sur les questions en lien avec la discrimination des femmes. D’ailleurs la résolution 1325 des Nations Unies prise en 2000 qui accorde une place de choix aux femmes autour des tables de négociations, doit être vulgarisée à travers l’Afrique pour que les dirigeants puissent véritablement se saisir de cette question», a-t-elle insisté.

Les freins à l’autonomisation de la femme

Dans un pays où les pesanteurs sociologiques ont encore la vie dure, notamment en termes de place de la femme dans la société, ces ambitions somme toute légitimes pourraient se heurter à certains obstacles. L’autonomisation de la femme africaine en général et celle gabonaise en particulier n’est-elle pas un vœu pieux ? Sidonie Flore Ouwé rassure : « L’autonomisation ne se fait pas de façon brutale, automatique, spontanée. C’est un processus qui va de la libération de la femme, libération transversale, multiforme, à son affranchissement, en passant naturellement de l’exercice de la plénitude de ses droits. Nous pensons qu’à ce jour, les femmes ont commencé le processus de l’autonomisation ».
Pour êtres autonomes, souligne-t-elle, les femmes doivent s’organiser en associations, en coopératives, en organisations non gouvernementales qui constituent des garants pour les bailleurs de fonds en vue du financement des projets de femmes en faveur de la paix et du développement durable.

Source: Grogne d’Afrique 

Enseignement : vers une meilleure connectivité

La mission de WACREN consiste à soutenir les interconnexions et à favoriser la collaboration entre les institutions de recherche et d’éducation de la région et les pairs internationaux, en construisant et en exploitant une infrastructure réseau de classe mondiale, en développant des services de pointe, en assurant la promotion et la collaboration entre les organismes nationaux, régionaux et internationaux de recherche et d’éducation, et en renforçant le capital humain de la communauté de RER.

Depuis sa création en 2010, WACREN compte 12 réseaux d’éducation et de recherche, au Togo, au Burkina Faso, au Cameroun, au Tchad, en Côte d’Ivoire et au Ghana, notamment.

WACREN fera appel à MainOne pour garantir l’accès à internet aux écoles, collèges et universités.

Cet accord devrait permettre d’exploiter le câble sous-marin de MainOne en libre accès pour apporter des améliorations en matière d’éducation, tirer profit des nouvelles technologies, soutenir la disponibilité des ressources éducatives libres et proposer des formations à distance.

Source: Republicoftogo.com