Mois de la diaspora:  Orphée ADOM est arrivé au bout du tunnel toujours avec la tête haute

En fin de mission, les capitaines de la bataille dans laquelle le CJD s’est lancé ont fait le compte rendu aux populations Togolaise qui sont après tout leur premier partenaire. Cette cérémonie de clôture s’est déroulée le vendredi 5 octobre dernier à Lomé.

Le bilan dans son ensemble est positif et encourageant. Malgré qu’il y a eu d’énormes entraves, M. Adom Orphé et ses collaborateurs ont suit maîtriser leur cahier de charge et réchauffer leur énergie pour arriver au bout du tunnel avec des résultats concrets. 

« Nous avons couvert plus de 5000 jeunes à la fin de ce mois de la diaspora et nous avons des raisons d’être satisfait. Il y a beaucoup de choses qui se sont faites, nous avons rencontré une jeunesse motivée avec du potentiel. Nous avons sondé les opportunités qui existent dans les 22 localités et nous nous sommes rendus compte qu’il y avait beaucoup d’opportunités qu’ils ignoraient eux même», a laissé entendre le Vice-président du CJD , Orphée ADOM

Ce vaillant monsieur, Orphée ADOM à travers cette organisation du mois de la diasporat à encore démontré sa détermination et sa volonté de contribuer au développement  de notre nation.  Il a ainsi fait une étude de terrain pour remettre la feuille de route du développement aux décideurs, et à toutes les populations Togolaise.

D’ après les analyses de M. Orphée ADOM, l’el’entreprenriat des jeunes est l’est l’élément vecteur de ce développement.  Il exhorte toute la jeunesse Togolaise à saisir les opportunités de développement que leur offre naturellement la nature. 

Placé autour du thème « Émigration, décentralisation et Opportunités de développement », cette première édition a réuni des autorités administratives, des ambassadeurs de l’Egypte, du Nigeria, du Gabon, du Ghana et des représentants des Togolais vivants à l’étranger.

De son côté, le Conseiller du Chef de l’état,Pacôme Adjourouvi a réitéré l’engagement du gouvernement à soutenir les prochaines éditions et d’indiquer le souhait de créer une maison de la diaspora.